Empire du BIOTERRORISME - partie 2/3
12.08.2014
Ici, la partie 1/3
« Nous sommes toujours près des victimes »
Selon les données de l’Organisation Mondiale de la Santé, à l’ouest du "continent noir" sont déjà mortes plus de 600 personnes infectées par le virus Ebola. (Près de 2000 début septembre 2014)
L’épidémie actuelle est devenue la plus importante de l’histoire des observations médicales.
Au Nigéria, Libéria et d’autres pays africains, sur les frontières, des cordons sanitaires spéciaux sont installés, les médecins soumettent à un contrôle très méticuleux tous les arrivants et partants. La fièvre Ebola est considérée comme une maladie mortelle, dont les hommes, les primates et les cochons sont les plus sensibles. Le vaccin contre celle-ci n’existe pas.
L’épidémie a commencé en Guinée en mars de cette année. Depuis ce jour, la maladie se répand sur de nouveaux territoires en Sierra Leone, au Libéria et au Mali. Il est à craindre qu’elle se propagera non seulement dans toute l’Afrique de l’Ouest, mais aussi pénétrera en Europe.
Il est curieux que, dans les foyers de l’épidémie, soient devenues très fréquentes les attaques de la population locale contre les bureaux de l’organisation internationale "Médecins Sans Frontières". Les habitants locaux accusent les médecins que c’est justement eux qui ont amené le virus dans cette région. Il y a eu des manifestations massives de protestation contre le gouvernement des pays africains qui ne font rien pour remédier à la situation.
Les pogroms des bureaux de "l’organisation internationale très respectable" sont présentés dans la presse occidentale à titre d’exemple de "l’irrationalité et l’absurdité". Surtout que "Médecins Sans Frontières" vantent toujours leurs principes éthiques, assurant qu’ils "sont toujours proches des victimes". Mais est-ce que ce ne sont pas leurs propres victimes – comme le considèrent les Africains "déraisonnables" ?
Pourquoi les médecins occidentaux obstinément ne quittent-ils pas la Guinée, le Libéria, le Mali et la Sierra Leone ? Après tout, ces pays sont gagnés par le chaos des guerres civiles et des conflits dans lesquels les pays occidentaux et les États-Unis participent très activement. Rien que la France, à elle seule, a dépensé des centaines de millions d’euros pour les opérations militaires au Mali.
Tout cela – pour restaurer le pouvoir colonial en Afrique de l’Ouest et du Nord. Et c’est justement ces zones qui sont "ratissées" de la population locale pendant des épidémies d’Ebola et autres maladies infectieuses. Mais miraculeusement n’en souffrent que les habitants du pays, et jamais les "Casques Bleus" français.
Cependant, les "Médecins Sans Frontières" ne transmettent pas les médicaments et le matériel aux autorités locales et ne quittent pas la zone de conflit. C’est ce qui donne des raisons valables aux habitants de soupçonner les "esculapes" étrangers (très bon médecin – NDT) que ce sont eux qui propagent de nouvelles souches d’infection parmi les Africains.
Selon de nombreux experts, on y essaie une nouvelle arme "ethnique" qui agit sélectivement – seulement sur les Africains. Mais apparemment, il y a des modifications pour d’autres groupes raciaux et ethniques. En 2006, l’un des principaux virologues américains Éric Pianka, lors d’une audience solennelle à l’Université du Texas, a déclaré que, grâce à une nouvelle souche du virus Ebola (selon ses propres termes, « ayant un taux de mortalité fantastique ») il est possible « pour le bien de la planète » de réduire l’humanité à 90 %. Les virologues américains présents dans la salle se sont levés dans un élan unanime et lui ont fait une ovation debout…
Armes ethnique et génétique
Depuis les années 70, les États-Unis menaient des recherches accélérées des "armes ethniques". Et, selon l’opinion de nombreux experts, à ce jour sont créées de nouvelles souches de virus mortels qui peuvent se propager seulement à un environnement ethnique défini.
Ainsi, la "pneumonie atypique" affecte le plus les Chinois et
les habitants de l’Asie du Sud-Est, le virus Ebola et le SIDA – les Africains. Des chercheurs
israéliens tentent de créer une arme
biologique semblable visant les
Arabes.
L’Association
Médicale Britannique a récemment déclaré que « le
développement progressif de la génétique est
capable déjà dans un avenir proche d’être
à l’origine de nettoyages ethniques d’envergure sans précédent. »
L’idée d’instaurer une "domination biologique du monde" mûrit déjà, non seulement dans les têtes des cannibales-virologues fous, mais aussi dans les calculs des politiciens, stratèges militaires et experts ! Ainsi, récemment, cette idée a été exprimée par des politiciens néoconservateurs respectables des États-Unis dans le rapport « Les nouvelles lignes de défense de l’Amérique. »
Il y est écrit que, naturellement, la domination militaire du monde doit,
en premier lieu, être assurée par des missiles balistiques
et de croisière, des avions radiocommandés ("drones") et des sous-marins, des armes par satellite. Mais,
par ailleurs, « dans
les prochaines années, l’art de
la guerre dans l’air, sur terre
et sur mer sera complètement différent
du présent, et les combats
se dérouleront dans de nouvelles dimensions – dans
l’espace, le "cyber espace", ainsi qu’au niveau intracellulaire et microbien ». Et il poursuit que « les
formes avancées des armes biologiques qui
sauront choisir comme cibles certains
génotypes humains, seront en
mesure d’amener ce domaine du monde de la terreur à
sa juste place parmi les moyens politiquement justifiés » !
La terreur parmi les biologistes
Les autorités
américaines ont bien
appris les leçons du
"ProjetManhattan", en particulier, le
transfert par de grands physiciens internationaux
de données sur les armes atomiques à
l’Union soviétique. Des chercheurs
américains l’ont fait non pas
pour l’argent, mais en
se basant sur une évaluation réaliste de
leur gouvernement, qui sans hésiter aurait bombardé l’Union soviétique et tous
les autres concurrents potentiels sur
le chemin de l’hégémonie mondiale.
Alors maintenant, les chercheurs de nouveaux virus sont soumis à des règles les plus cruelles d’élimination des "témoins gênants". La mortalité parmi ces derniers est de dizaines de fois plus élevées par rapport aux taux moyens.
Les experts américains indépendants ont compté quelques centaines de morts "mystérieuses" (dans des accidents d’avion et de la route, de maladies "inconnues", de "sinistres") parmi les virologues et microbiologistes ayant travaillé sous contrat pour la CIA et le ministère de la Défense.
En 2001, immédiatement après l’explosion des "tours-jumelles", tous les Américains ont été excités par le message sur les lettres contenant des spores de la fièvre charbonneuse (anthrax) qui avaient été envoyées dans les rédactions des journaux, magasines, chaînes de télévision et aux politiciens. 17 personnes ont été infectées dont cinq sont mortes. Ces lettres ont servi de principal prétexte au changement politique qui a dirigé l’agression des États-Unis contre l’Irak. "Al-Qaïda" se retira dans l’ombre, et dans tous les médias a résonné que « la plus grande attaque biologique dans l’histoire des États-Unis » a été organisée par Saddam Hussein.
Lorsque ce changement a été conforté (et utilisé plus tard pour accuser Saddam Hussein dans le développement des armes biologiques, ce qui est devenu l’un des arguments pour l’invasion de l’Irak), il s’est avéré très rapidement que la souche du virus ne pourrait être obtenue que du laboratoire de la CIA à Fort Detrick. C’est là qu’a été trouvé le "maillon faible" – le virologue BruceIvins qui, comme fervent catholique, se plaignait souvent que, pour des raisons religieuses, il n’aimait pas ce travail. Et en juillet 2008, il se serait suicidé en avalant de puissants médicaments. Après cela, le FBI a fait de lui un "terroriste dément" qui envoyait des lettres infectées. L’autopsie n’a pas été faite, l’enquête n’a pas été engagée, et puis l’affaire a été très rapidement classée.
Curieusement, il a reproduit le sort de l’un des plus grands microbiologistes des années 50, Frank Olson, qui avait également travaillé sur la fièvre charbonneuse et qui avait présenté sa démission de Fort Detrick, ne voulant pas participer à la recherche sur l’arme meurtrière. Et quelques jours plus tard, en novembre 1953, selon le rapport du FBI, « dans un état de dépression nerveuse, il a sauté du 10e étage de l’hôtel Pennsylvanie. »
L’un des cas les plus célèbres était le "suicide" du plus grand expert britannique des armes biologiques David Kelly. Des dizaines de fois, lors de diverses missions de l’ONU, il a visité l’Irak pour des inspections. Après l’invasion, il a fait une déclaration (étant le premier !) sensationnelle affirmant que tous les "documents" selon lesquels Saddam Hussein avait des armes chimiques et biologiques, présentés par les autorités des États-Unis et la Grande-Bretagne à l’Organisation des Nations Unies et qui ont servi de prétexte à la guerre – étaient de la "vulgaire forgerie". Il a été convoqué au Parlement, où pendant l’audience sur le fond, on ne lui a même pas permis d’ouvrir la bouche en s’en prenant à lui avec reproches et accusations.
Et quelques jours plus tard, le 17 juillet 2003, il est parti, comme d’habitude, pour une promenade matinale, et son corps a été retrouvé le lendemain à environ un mile de sa maison. Dans le rapport officiel, il a été révélé qu’il s’était suicidé en avalant 30 comprimés de somnifère, ensuite avec un couteau il s’est tranché les veines du poignet gauche. Cependant, les médecins de "l’ambulance" (apparemment, ne sachant rien de la "commande") ont fait remarquer que sous le cadavre il n’y avait pas de sang. Donc, Kelly s’est empoisonné, s’est coupé les veines, et puis s’est vidé de son sang, et est arrivé par lui-même à l’endroit où il a été trouvé !
Aux États-Unis, l’un des événements les plus retentissants était l’accident d’avion en mars 2002, dans lequel a péri Steven Mostow – le leader virologue qui a travaillé dans le centre médical de Colorado. On l’appelait "Monsieur Grippe", car il s’était surtout spécialisé dans cette maladie.
Parmi les victimes, il y en a beaucoup originaires de notre pays (Russie – NDT) qui, pour diverses raisons, sont partis à "la recherche du bonheur" en Occident. Le plus notable était la "crise cardiaque" en 2001 chez le microbiologiste Vladimir Pasechnik, qui se distinguait par sa santé enviable. L’Occident l’avait utilisé (comme beaucoup d’autres Russes) à 200 % – aussi bien en tant que professionnel, que comme un « dénonciateur des conspirations horribles du Kremlin contre les États-Unis et tout le monde libre. »
En 1989, il est parti pour l’Angleterre et il a travaillé dans l’un des centres de virologie. Par la même occasion, il gagnait de l’argent par des bavardages sur des "armes biologiques binaires des Soviets" appelées "Novitchok", que tous les virus connus étaient depuis longtemps assimilés dans les laboratoires secrets du KGB, et qu’il y en avait déjà de nouveaux. Ils peuvent causer chez les Américains ne soupçonnant rien de "terribles maladies", comme la sclérose et l’arthrite.
Ces histoires d’horreur ont été utiles parce qu’elles donnaient une raison pour restreindre les fonds du budget pour la "biosécurité" (en fait, pour le développement de nouvelles souches mortelles). Mais, ensuite, ils ont décidé que Pasechnik est trop bavard au sujet du centre de la virologie à Salisbury, où il avait travaillé pendant 10 ans, et a il a été envoyé dans un autre monde...
(À SUIVRE)
Source : rusvesna.su : Империя Биотеррора
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