La Russie possède l’arme la plus puissante au monde, beaucoup plus puissante que l’arme atomique. Elle s’appelle – l’amour !
19.09.2014
Cette arme
est imperceptible pour les radars les plus performants et les personnes cyniques,
mais, si on réfléchit bien, c’est justement elle qui, depuis des siècles,
permet à la Russie de rester indépendante en empêchant les agresseurs de la
conquérir et de la détruire.
La Russie et le peuple russe, comme un tout
unique, vivent par amour, et cela se manifeste par l’aspiration à la justice, par
la compassion au chagrin de chaque personne sur la planète, par la solidarité
avec les opprimés et la douceur envers les peuples et les nations qui sont
passés sous les mains du mal.
Seule la Russie est capable de combattre le
nazisme, le racisme et d’autres formes du mal mondial et ne pas s’aigrir contre
leurs porteurs. Seulement les Russes ont pu pardonner aux Allemands, même sans trop
de paroles de remords de leur part et, en fait, leur offrir une nation
allemande unique.
Seulement les Russes peuvent pardonner de
terribles affronts, non rachetés par le sang de l’offenseur, et des dettes
énormes en les retranchant contre une nouvelle aide. Seulement les Russes peuvent
éprouver la honte, parce qu’ils n’ont pas protégé un pays lointain d’Afrique contre
le bandit mondial, et se réjouir du fond de leur âme, parce qu’ils ont protégé
la Syrie de ce dernier.
Nous ne remarquons même pas d’illogisme d’un tel
comportement pour la conscience pragmatique égoïste. Pour nous, c’est une norme
morale. Et chaque écart de celle-ci est perçu de façon plus douloureuse que
toute perte matérielle qui nous a été infligée.
Pourquoi les Russes ne sont-ils pas conscients
de leur arme principale ? C’est très simple : un véritable amour ne
peut pas être narcissique, la douceur sincère et la bonté ne se font jamais valoir
elles-mêmes, sinon ce n’est plus une vertu.
Les Russes se critiqueront beaucoup plus
facilement pour la paresse, la mauvaise gestion, les imbéciles et les mauvaises
routes, qu’ils ne se feront l’éloge du fait qu’ils sont braves sans pareil et
qu’ils vivent avec de l’amour dans le cœur.
Si l’on commence à le leur expliquer, dans le
meilleur des cas, ils se détourneront genre "laissez-moi tranquille",
ou tout simplement vous accuseront de faux pathos et vous diront leurs quatre
vérités sur l’intrépide réalité russe. Nous ne nous affectionnons pas ni nos
meilleures qualités, et c’est incorrigible.
Mais probablement, c’est justement comme ça que
cela devrait être.
Sinon, on perdra notre douce et tendre force.
Régulièrement, on essaye de nous sevrer d’être russe,
on nous a réduit en cendres les entrailles données par Dieu, débordant d’amour
pour l’univers, plus d’une fois : en 1917 les bolcheviks, en 90 les libéraux,
encore plus tôt, au 19ème siècle, toutes sortes de roturiers et de révolutionnaires,
et, même encore plus tôt, dans la Russie Moscovite – des dégénérés et des
judaïsants.
Cependant, malgré toutes les blessures
importantes qui nous ont été infligées par des Virusses (personnes d’origine
russe, mais qui ont adhéré aux non-Russes, pour lesquelles la langue russe
n’est pas leur langue maternelle, qui ne s’appellent pas Russes et ne sont pas
conducteurs de la culture russe, NDT), la Russie est restée russe et regarde le
monde toujours avec amour.
Aussi soviétiques ou fanatiques orthodoxes, rouges
ou blancs (qui, je rappelle, n’étaient aucunement partisans de l’autocratie), anarchistes
ou constructeurs de prisons des nations, Occidentaux ou Asiatiques qu’on nous représentait,
aussi méchants qu’on nous peignait, nous restons ceux qui ne peuvent qu’être – Russes
en esprit, suivant le Christ par vocation et par amour pour chacun créé à son image.
Avec toute l’occidentalisation externe de
l’existence russe, la plupart des Russes garde dans l’inconscient quelque chose
qui lui permet de rester russe, et notamment : une attitude pacifique sur
la réalité qui l’entoure et le rejet du mal sous toutes ses formes.
Nos manières rudes et l’absence de sourire, qui
surprennent tant les Occidentaux et les cosmopolites, en réalité ne sont rien d’autre
qu’un mécanisme de défense pour maintenir une perception pure, naïve et
enfantine du monde. L’amour est très vulnérable, c’est ainsi.
Sur l’arène internationale, la douceur de la
Russie est clairement exprimée, surtout maintenant, quand on essaye de nous
contraindre à l’agression et à la démonstration de la colère, quand une
nouvelle "croisade" est déclarée contre nous. À certains peuples,
vivant principalement du côté ouest de la Russie, cela paraît être un signe de
faiblesse. La douceur des Russes a toujours provoqué chez eux un sentiment d’impunité,
ce qui a conduit aux actes irréfléchis et à l’agression contre la Russie.
Et ce qui est étonnant – c’est que leur rage
sauvage, la haine des "sous-hommes" russes et leur racisme mal
dissimulés (comme aujourd’hui) ou même francs (comme sous Hitler), se heurtaient
non pas à une rage réciproque, mais à une force douce et miséricorde. Non pas la
force douce que l’on appelle le mensonge dans l’espace de l’information, mais
la puissance héroïque douce qui est une caractéristique propre aux Russes.
Quand dans l’ennemi nous ne voyons pas le mal en
soi, sinon l’âme ruinée par le mal qu’il faut sauver.
Les Russes spirituellement sont toujours au-dessus
de leurs ennemis, sans succomber à leur haine et sans multiplier le mal.
Dans le même temps, les Russes ne se surélèvent
pas ostensiblement au-dessus de l’ennemi et même l’égalent avec lui afin de ne
pas lui donner de raison de s’aigrir une fois de plus.
Les Russes ne sont pas rancuniers, et ce n’est ni
exprès ni pour la façade, ils ne peuvent rien y faire, tel est le don de Dieu.
On défie, on aboie, et même on enfonce des
bâtons, on jette des pierres à la Russie, comme à cet énorme ours somnolent
dans sa tanière – et lui, en réponse, appelle paresseusement et en douceur à la
paix et à l’amitié. Et nous le faisons avec sincérité, sans aucun calcul
astucieux.
Beaucoup, même en Russie, sont étonnés comment Moscou
officielle en réponse aux explosions de haine de la part des pays européens,
les traite avec des mots d’amitié et d’égalité : en disant, « les gars, arrêtez vos mauvaises plaisanteries,
embrassons-nous plutôt. » Mais les étreintes avec l’ours, pour l’Europe
élevée, pendant des siècles, sur la peur de la horde sauvage de l’Est, cela
équivaut à une défaite.
Ils comprennent que les embrassades douces de l’ours
peuvent étouffer leur âme anglo-saxonne d’un seul trait. Et si on permet aux
Russes de construire un espace ouvert de Lisbonne à Vladivostok, comme le
propose toujours Vladimir Poutine, aussitôt il s’avèrera que l’Europe est
devenue le métochion russe,
tandis que Lisbonne s’est transformée en une autre lointaine petite ville russe
sur la rive de l’océan.
L’amour de la Russie a désarmé de nombreux peuples
de l’Eurasie, qui, non sans offenses réciproques, mais harmonieusement dans l’ensemble,
se sont joints au peuple russe, et grâce à la protection du Tsar blanc ont
survécu et ont préservé leur identité. Il est peu probable que cela se
reproduise avec l’Europe, néanmoins il en a terriblement peur.
Toutefois, le principal antagoniste de la Russie
et de la vision russe du monde de l’amour et de la justice n’est même pas la
vieille Europe, mais la civilisation américaine obsédée par son exclusivité
qu’elle a mise au monde. La principale source des vagues de haine et d’agression
contre le peuple russe des deux derniers siècles, ce sont précisément les "maîtres
blancs" de « l’empire du bien
et de la meilleure démocratie du monde. »
Des nazis allemands et des russophobes polonais s’y
sont aussi bien installés parce que c’est leur environnement, leur impression d’un
nouvel ordre mondial, qui est impossible sans la destruction de la Russie. Et
dans la dernière future bataille dont les événements sanglants en Ukraine ne
sont qu’un épisode, les Russes, naturellement, ne pourront pas éviter la
contre-violence.
Cependant, d’une part, nous l’éviterons jusqu’à
tout dernier recours, et, d’autre part, auparavant, nous aurons la compassion pour
les marionnettes trompées. Nous ferons tout pour ne pas permettre de semer en
nous la haine et ne pas laisser croître le mal dans le monde.
Ce sera une rage noble, inspirée par le devoir
sacré de retenir l’humanité de l’abîme, purifiant le monde.
Seulement ainsi, nous ne pouvons pas faire autrement.
Par le journaliste, Eduard Birov
Agence centrale d’information de Novorussie
Novorus.info
Source : novorus.info-news : Россия обладает наиболее мощным оружием в мире, многократно превосходящим атомное. Имя ему – ЛЮБОВЬ!
Traduction : GalCha
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