Bioterreur - dossier

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Empire du BIOTERRORISME





Une épidémie, sans précédent jusqu’à maintenant, du virus Ebola en Afrique de l’Ouest, menace de se propager sur le continent européen. Le SIDA, emportant des dizaines de millions de personnes, d’autres maladies redoutables inconnues jusque-là des humains, des animaux et des plantes. D’où nous tombent-elles sans crier gare ? Quel est le rôle joué par les laboratoires secrets de la CIA et les autorités militaires des États-Unis ?


Les virus de la nouvelle génération : le cancer
« Ce n’est pas possible ! Le cancer n’est pas contagieux ! Tout cela ne sont que des spéculations, genre la "théorie du complot" ou les rencontres avec les Martiens ! »
Ainsi, les autorités américaines ont réagi aux accusations du gouvernement du Venezuela selon lesquelles le grand leader de la Révolution bolivarienne, Hugo Chavez, a été éliminé par l’infection d’un virus du cancer.




Toutefois, les experts estiment qu’un si grand nombre de dirigeants latino-américains atteints de cancers (et comme par hasard, ceux de gauche !), à peu près en même temps, ne peut pas être expliqué par des causes naturelles. Parmi eux, en même temps que Chavez, le président argentin Nestor Kirchner, Cristina Kirchner qui l’a remplacé à son poste, le président brésilien Lula da Silva, Dilma Rousseff qui est arrivée au pouvoir après lui, le président paraguayen Fernando Lugo (qui a été renversé pendant le coup d’État de la droite en 2012 orchestré par la CIA, et peu de temps après, on lui a diagnostiqué un cancer du système immunitaire). Le dirigeant cubain Fidel Castro, c’est à peine qu’il soit resté en vie après une affection mystérieuse oncologique de l’intestin qui l’a frappé après le "Sommet des peuples" qui s’est tenu en 2006 dans la ville argentine de Córdoba.






Il est connu de peu de gens que, bien avant les expériences bestiales dans les camps de concentration de mort allemands pendant la Seconde Guerre mondiale, les Américains réalisèrent des expériences similaires sur les habitants de l’Amérique latine sous l’égide de "l’Institut de Recherche Médicale" de Rockefeller.

Un des fanatiques, Cornelius Rhoads en 1931, écrit à son ami :

« Ici, à Porto Rico, tout va bien, sauf pour les Portoricains. Ils sont certainement les imbéciles les plus sales et les plus paresseux de la race des voleurs peuplant cet hémisphère. La santé publique, il faut un moyen quelconque pour les éliminer tous. Et j’ai tout fait pour accélérer le processus – j’en ai tué huit au cours d’expériences, et j’en ai infecté beaucoup par des cancers. L’assurance-maladie et les prestations sociales n’existent pas ici – et cela suscite de l’admiration chez les médecins qui peuvent librement soigner jusqu’à la mort et torturer leurs patients malchanceux ».

Le "Docteur" administrait par voie intraveineuse des substances biologiques qui provoquent le cancer, et au moins 13 patients sont décédés à la suite de ces expériences cruelles.



Dans les années 50, Rhoads est devenu directeur des programmes de recherche sur les armes chimiques et biologiques dans le centre de l’armée de Fort Detrick (Maryland), des terrains d’essais dans le désert de l’Utah et sur le territoire du canal de Panama. Il s’est ensuite rendu à la Commission des États-Unis sur l’énergie, et y a soumis des Américains ne soupçonnant rien à des irradiations radioactives pour déterminer le niveau de "radiation de sûreté" et l’incidence des tumeurs malignes dues à ces expériences.



Après la mort de Rhoads, l’Association américaine des oncologues a créé un prix en son nom. Cependant, en 2004, à la suite de révélations scandaleuses de ses expériences monstrueuses, le président de l’association, S. Horwitz, a déclaré que la plus haute distinction des oncologues des États-Unis ne serait plus associée au nom de Rhoads en raison de la "nature controversée de ses activités".



De tels gredins de la science aux États-Unis, il y en a treize à la douzaine, et ils ont testé presque toutes les saletés inventées au début en Amérique latine (sans oublier les expériences sur leurs propres citoyens). Après la guerre, le champ a été réduit en raison du fait que beaucoup de gens ont commencé à demander de l’aide médicale et scientifique à l’URSS. Mais après l’effondrement de l’Union soviétique devant ces écorcheurs de vastes perspectives se sont vraiment ouvertes.



Obama, à maintes reprises, a été contraint de présenter ses excuses auprès des pays d’Amérique latine pour les expériences sur des gens dans les années 40 – 50, qui ont conduit à la propagation de la syphilis et d’autres maladies sexuellement transmissibles, à la stérilité en masse et aux diverses épidémies. Cependant, de telles excuses (attention ! seulement après la publication de preuves irréfutables) ne rendront pas la vie à des millions de morts et de victimes du bioterrorisme des États-Unis, aussi bien que ne conduiront pas à la fin de ces "expériences" dans l’avenir (selon le principe "pas vu, pas pris").


Depuis la fin des années 60, le développement et la création accélérés de différentes mutations du virus du cancer ont démarré. Les travaux ont été coordonnés avec "l’Institut National d’Oncologie", qui officiellement mettait au point le traitement de la "maladie du siècle", et officieusement était impliqué dans les projets de la CIA par l’utilisation du virus du cancer à des fins militaires et politiques.

En dépit de la signature solennelle, en 1972, à Moscou, à Londres et à Washington, de la Convention sur l’interdiction de la mise au point, de la fabrication et du stockage des armes bactériologiques (biologiques) ou à toxines et sur leur destruction (CABT), le travail à Fort Detrick allait d’arrache-pied et, vers 1977, 60 000 litres de virus cancérigènes et immunosuppresseurs ont été produits.



Dans ces travaux ont activement participé les professeurs R. Purcell, M. Hillerman, S. Krugman et R. McCollum, qui ont utilisé un "cocktail" de virus de l’hépatite B en combinaison avec une substance oncogène pour des expériences non seulement sur des macaques rhésus et des chimpanzés, mais aussi sur des étudiants américains de l’école publique pour enfants handicapés mentaux de Willowbrook.



En 1971, la société pharmaceutique américaine "Litton Bionetics" a signé des contrats avec un certain nombre de pays africains pour l’étude de patients atteints de cancer avec le lymphome de Burkitt lié au virus d’Epstein-Barr, ainsi que de la leucémie et du sarcome. Curieusement, le lymphome de Burkitt a été diagnostiqué pour la première fois dans l’ouest de l’Ouganda après le travail des laboratoires du "Centre National de Cancer des États-Unis", ainsi que d’autres institutions médicales sponsorisées par Rockefeller.
Un des experts, R. King, a déclaré dans les années 80 que des experts des États-Unis infectaient des personnes de sarcome pour « identifier le génome viral par la remise en culture, l’hybridation, la recombinaison de virus, de mutations et d’autres techniques. »

Lors des audiences à la commission sénatoriale Church en 1975, le Dr Charles Senseni, qui avait travaillé dans le laboratoire de Fort Detrick, a avoué que, pour l’élimination des indésirables, la CIA utilisait des substances biologiquement actives qui provoquaient des maladies cardiaques et le cancer galopants. Il a montré des échantillons d’armes au moyen desquels les victimes désignées étaient infectées. Parmi ceux-ci, il y avait un parapluie tirant des fléchettes minuscules lors de son ouverture, ainsi qu’un pistolet à air comprimé tirant avec des aiguilles traitées avec du poison surgelé. Étant aussi épaisses qu’un cheveu humain et ayant la longueur de quelques millimètres, ces aiguilles passaient à travers le tissu des vêtements, sans être endommagées, l’injection provoquait une douleur pas plus forte qu’une piqûre de moustique, en fondant instantanément sous la peau.



Parmi les "nouveautés", des bioterroristes américains ont également montré des aérosols pour infecter les "cibles" de maladies mortelles après la pulvérisation par avion, ainsi que des "virus sautants" se propageant par les insectes (puces, araignées, moustiques) qui sautent ou volent d’animaux infectés à l’homme. La CIA était le "pionnier" dans les moyens de contagion par injection, inhalation, contact de la peau avec les vêtements contaminés, à travers le système digestif lors de la prise de nourriture, de boissons et même en utilisant du dentifrice.



Certains experts estiment que l’un des premiers leaders politiques indésirables aux USA, infecté par la nouvelle arme biologique du cancer, était le président d’Angola, Agostinho Neto. Il est décédé à l’hôpital clinique central de Moscou en 1979 à l’âge de 57 ans d’une forme fulminante de cancer inconnue jusqu’ici. Une autre victime était l’ancien président chilien Eduardo Frei, qui s’est opposé ouvertement au protégé des États-Unis, le général Pinochet. Frei est mort à l’hôpital de Santiago en janvier 1982, après avoir contracté une maladie passagère inconnue après avoir passé une visite médicale ordinaire.

Alors, peut-être que dans 50 ans, les archives de la CIA seront déclassifiées, et les mystères de la mort d’Hugo Chavez et d’autres dirigeants internationaux seront connus. Il existe une telle quantité de documents sur l’utilisation des virus du cancer par les services américains de renseignement, que l’existence de cette arme ne vient même pas en question. La seule question qui se pose – c’est comment il a été "introduit" et qui était l’exécutant direct.


"Virus absolu— SIDA
« Dans les 5 à 10 prochaines années, il sera possible de créer un virus synthétique qui n’existe pas dans la nature, et qui ne peut pas être réprimé par le système immunitaire humain ; de nouveaux virus créés artificiellement seront inabordables pour les médicaments, il est inutile d’utiliser contre ces derniers des moyens conventionnels de traitement des maladies infectieuses, les antibiotiques, les vaccins et les antidotes ».

Cette déclaration sensationnelle a été faite par le chef expert-virologue militaire D. MacArthur en 1969 devant les commissions du Congrès ("Commission Sykes"), qui était chargé de donner les recommandations sur l’allocation des fonds budgétaires pour l’armée. Et il n’a pas demandé beaucoup – environ 10 millions de dollars seulement !



L’argent a été accordé et des centaines de scientifiques et d’experts ont été mobilisés pour le travail. L’un des créateurs du virus du SIDA, apparemment, était le Dr RobertGallo, qui en 1987 a même reçu du ministère de la Santé américain le brevet établissant sa priorité dans l’invention du "virus réprimant le système immunitaire de l’homme".
La maladie s’est échappée des laboratoires et pour la première fois a été constatée au printemps 1981 en Californie (USA). Et elle n’avait rien à voir (comme les Américains essayent de nous convaincre) avec l’Afrique ni avec les "petits singes verts".

En mai 1987, Times de Londres a publié un article affirmant que la vaccination contre la variole en Afrique (à l’initiative des "humanistes" du ministère de la Santé des États-Unis) a causé une épidémie du SIDA. Et des millions de personnes ont été vaccinées ! Ensuite, une telle "vaccination" a été réalisée à Haïti, au Brésil et dans d’autres pays.



Les accusations des États-Unis dans la fabrication du virus du SIDA ont déjà commencé depuis le milieu des années 80. Le professeur berlinois de l’Université Humboldt, Jakob Segal, a affirmé que ce virus est un « produit de l’expérience, réalisée en laboratoire dans le but de créer des armes biologiques ». Dans les médias américains, tout cela était présenté comme de "la propagande soviétique". Mais dans les années 90, le docteur Gallo en personne a annoncé qu’il avait testé encore une souche "alternative" du SIDA, qui peut pénétrer dans l’organisme par les cellules épithéliales (c’est-à-dire, à travers la peau), ce qui augmente le risque de maladie par pulvérisation de la substance active dans l’atmosphère.



Dr Stan Monteith a été parmi les premiers qui encore en 1981 a décrit l’énorme potentiel épidémique de ce nouveau virus, les conséquences potentiellement catastrophiques de son utilisation par "l’élite mondiale" et a également prouvé son caractère artificiel.

La principale différence avec le "virus absolu" est qu’il ne détruit pas seulement le système immunitaire. Il transforme les anticorps (produits par le système immunitaire pour lutter contre les virus) en propagateurs du virus, c’est-à-dire, les principaux défenseurs du corps en ses destructeurs ! Le virus parasite les anticorps et naît à l’intérieur de ceux-ci. De telles caractéristiques n’ont jamais été observées dans aucun des virus ou des bactéries connus de la science.

Et cette nouvelle propriété empêche jusqu’à présent toute tentative de créer un vaccin contre le SIDA. C’est pourquoi, au fil des ans, aucun médicament efficace contre cette maladie n’a été trouvé.

Le nombre de personnes infectées par le SIDA n’est toujours pas connu, car même aux États-Unis le gouvernement empêche toutes les initiatives visant au moins une estimation approximative. Selon de diverses estimations, entre 50 à 100 millions de personnes sont infectées du SIDA. Surtout en Afrique – dans certains pays (Ouganda, Kenya), plus de 50 % de la population souffrent de cette terrible maladie.

Il est considéré que jusqu’ici quelque 40 millions de personnes sont mortes du SIDA – presque autant de morts que dans la Seconde Guerre mondiale !


« Nous sommes toujours près des victimes »

Selon les données de l’Organisation Mondiale de la Santé, à l’ouest du "continent noir" sont déjà mortes plus de 600 personnes infectées par le virus Ebola. (Près de 2000 début septembre 2014)

L’épidémie actuelle est devenue la plus importante de l’histoire des observations médicales.

Au Nigéria, Libéria et d’autres pays africains, sur les frontières, des cordons sanitaires spéciaux sont installés, les médecins soumettent à un contrôle très méticuleux tous les arrivants et partants. La fièvre Ebola est considérée comme une maladie mortelle, dont les hommes, les primates et les cochons sont les plus sensibles. Le vaccin contre celle-ci n’existe pas.



L’épidémie a commencé en Guinée en mars de cette année. Depuis ce jour, la maladie se répand sur de nouveaux territoires en Sierra Leone, au Libéria et au Mali. Il est à craindre qu’elle se propagera non seulement dans toute l’Afrique de l’Ouest, mais aussi pénétrera en Europe.

Il est curieux que, dans les foyers de l’épidémie, soient devenues très fréquentes les attaques de la population locale contre les bureaux de l’organisation internationale "Médecins Sans Frontières". Les habitants locaux accusent les médecins que c’est justement eux qui ont amené le virus dans cette région. Il y a eu des manifestations massives de protestation contre le gouvernement des pays africains qui ne font rien pour remédier à la situation.

Les pogroms des bureaux de "l’organisation internationale très respectable" sont présentés dans la presse occidentale à titre d’exemple de "l’irrationalité et l’absurdité". Surtout que "Médecins Sans Frontières" vantent toujours leurs principes éthiques, assurant qu’ils "sont toujours proches des victimes". Mais est-ce que ce ne sont pas leurs propres victimes – comme le considèrent les Africains "déraisonnables" ?

Pourquoi les médecins occidentaux obstinément ne quittent-ils pas la Guinée, le Libéria, le Mali et la Sierra Leone ? Après tout, ces pays sont gagnés par le chaos des guerres civiles et des conflits dans lesquels les pays occidentaux et les États-Unis participent très activement. Rien que la France, à elle seule, a dépensé des centaines de millions d’euros pour les opérations militaires au Mali.


Tout cela – pour restaurer le pouvoir colonial en Afrique de l’Ouest et du Nord. Et c’est justement ces zones qui sont "ratissées" de la population locale pendant des épidémies d’Ebola et autres maladies infectieuses. Mais miraculeusement n’en souffrent que les habitants du pays, et jamais les "Casques Bleus" français.

Cependant, les "Médecins Sans Frontières" ne transmettent pas les médicaments et le matériel aux autorités locales et ne quittent pas la zone de conflit. C’est ce qui donne des raisons valables aux habitants de soupçonner les "esculapes" étrangers (très bon médecin – NDT) que ce sont eux qui propagent de nouvelles souches d’infection parmi les Africains.

Selon de nombreux experts, on y essaie une nouvelle arme "ethnique" qui agit sélectivement – seulement sur les Africains. Mais apparemment, il y a des modifications pour d’autres groupes raciaux et ethniques. En 2006, l’un des principaux virologues américains Éric Pianka, lors d’une audience solennelle à l’Université du Texas, a déclaré que, grâce à une nouvelle souche du virus Ebola (selon ses propres termes, « ayant un taux de mortalité fantastique ») il est possible « pour le bien de la planète » de réduire l’humanité à 90 %. Les virologues américains présents dans la salle se sont levés dans un élan unanime et lui ont fait une ovation debout…


Armes ethnique et génétique

Depuis les années 70, les États-Unis menaient des recherches accélérées des "armes ethniques". Et, selon l’opinion de nombreux experts, à ce jour sont créées de nouvelles souches de virus mortels qui peuvent se propager seulement à un environnement ethnique défini.

Ainsi, la "pneumonie atypique" affecte le plus les Chinois et les habitants de l’Asie du Sud-Est, le virus Ebola et le SIDA – les Africains. Des chercheurs israéliens tentent de créer une arme biologique semblable visant les Arabes.

L’Association Médicale Britannique a récemment déclaré que « le développement progressif de la génétique est capable déjà dans un avenir proche d’être à l’origine de nettoyages ethniques d’envergure sans précédent. »

L’idée d’instaurer une "domination biologique du monde" mûrit déjà, non seulement dans les têtes des cannibales-virologues fous, mais aussi dans les calculs des politiciens, stratèges militaires et experts ! Ainsi, récemment, cette idée a été exprimée par des politiciens néoconservateurs respectables des États-Unis dans le rapport « Les nouvelles lignes de défense de l’Amérique. »
Il y est écrit que, naturellement, la domination militaire du monde doit, en premier lieu, être assurée par des missiles balistiques et de croisière, des avions radiocommandés ("drones") et des sous-marins, des armes par satellite. Mais, par ailleurs, « dans les prochaines années, l’art de la guerre dans l’air, sur terre et sur mer sera complètement différent du présent, et les combats se dérouleront dans de nouvelles dimensions – dans l’espace, le "cyber espace", ainsi qu’au niveau intracellulaire et microbien ». Et il poursuit que « les formes avancées des armes biologiques qui sauront choisir comme cibles certains génotypes humains, seront en mesure d’amener ce domaine du monde de la terreur à sa juste place parmi les moyens politiquement justifiés » !

La terreur parmi les biologistes

Les autorités américaines ont bien appris les leçons du "Projet Manhattan", en particulier, le transfert par de grands physiciens internationaux de données sur les armes atomiques à l’Union soviétique. Des chercheurs américains l’ont fait non pas pour l’argent, mais en se basant sur une évaluation réaliste de leur gouvernement, qui sans hésiter aurait bombardé l’Union soviétique et tous les autres concurrents potentiels sur le chemin de l’hégémonie mondiale.
Alors maintenant, les chercheurs de nouveaux virus sont soumis à des règles les plus cruelles d’élimination des "témoins gênants". La mortalité parmi ces derniers est de dizaines de fois plus élevées par rapport aux taux moyens.
Les experts américains indépendants ont compté quelques centaines de morts "mystérieuses" (dans des accidents d’avion et de la route, de maladies "inconnues", de "sinistres") parmi les virologues et microbiologistes ayant travaillé sous contrat pour la CIA et le ministère de la Défense.

En 2001, immédiatement après l’explosion des "tours-jumelles", tous les Américains ont été excités par le message sur les lettres contenant des spores de la fièvre charbonneuse (anthrax) qui avaient été envoyées dans les rédactions des journaux, magasines, chaînes de télévision et aux politiciens. 17 personnes ont été infectées dont cinq sont mortes. Ces lettres ont servi de principal prétexte au changement politique qui a dirigé l’agression des États-Unis contre l’Irak. "Al-Qaïda" se retira dans l’ombre, et dans tous les médias a résonné que « la plus grande attaque biologique dans l’histoire des États-Unis » a été organisée par Saddam Hussein.

Lorsque ce changement a été conforté (et utilisé plus tard pour accuser Saddam Hussein dans le développement des armes biologiques, ce qui est devenu l’un des arguments pour l’invasion de l’Irak), il s’est avéré très rapidement que la souche du virus ne pourrait être obtenue que du laboratoire de la CIA à Fort Detrick. C’est là qu’a été trouvé le "maillon faible" – le virologue BruceIvins qui, comme fervent catholique, se plaignait souvent que, pour des raisons religieuses, il n’aimait pas ce travail. Et en juillet 2008, il se serait suicidé en avalant de puissants médicaments. Après cela, le FBI a fait de lui un "terroriste dément" qui envoyait des lettres infectées. L’autopsie n’a pas été faite, l’enquête n’a pas été engagée, et puis l’affaire a été très rapidement classée.


Curieusement, il a reproduit le sort de l’un des plus grands microbiologistes des années 50, Frank Olson, qui avait également travaillé sur la fièvre charbonneuse et qui avait présenté sa démission de Fort Detrick, ne voulant pas participer à la recherche sur l’arme meurtrière. Et quelques jours plus tard, en novembre 1953, selon le rapport du FBI, « dans un état de dépression nerveuse, il a sauté du 10e étage de l’hôtel Pennsylvanie. »

L’un des cas les plus célèbres était le "suicide" du plus grand expert britannique des armes biologiques David Kelly. Des dizaines de fois, lors de diverses missions de l’ONU, il a visité l’Irak pour des inspections. Après l’invasion, il a fait une déclaration (étant le premier !) sensationnelle affirmant que tous les "documents" selon lesquels Saddam Hussein avait des armes chimiques et biologiques, présentés par les autorités des États-Unis et la Grande-Bretagne à l’Organisation des Nations Unies et qui ont servi de prétexte à la guerre – étaient de la "vulgaire forgerie". Il a été convoqué au Parlement, où pendant l’audience sur le fond, on ne lui a même pas permis d’ouvrir la bouche en s’en prenant à lui avec reproches et accusations.

Et quelques jours plus tard, le 17 juillet 2003, il est parti, comme d’habitude, pour une promenade matinale, et son corps a été retrouvé le lendemain à environ un mile de sa maison. Dans le rapport officiel, il a été révélé qu’il s’était suicidé en avalant 30 comprimés de somnifère, ensuite avec un couteau il s’est tranché les veines du poignet gauche. Cependant, les médecins de "l’ambulance" (apparemment, ne sachant rien de la "commande") ont fait remarquer que sous le cadavre il n’y avait pas de sang. Donc, Kelly s’est empoisonné, s’est coupé les veines, et puis s’est vidé de son sang, et est arrivé par lui-même à l’endroit où il a été trouvé !

Aux États-Unis, l’un des événements les plus retentissants était l’accident d’avion en mars 2002, dans lequel a péri Steven Mostow – le leader virologue qui a travaillé dans le centre médical de Colorado. On l’appelait "Monsieur Grippe", car il s’était surtout spécialisé dans cette maladie.

Parmi les victimes, il y en a beaucoup originaires de notre pays (Russie – NDT) qui, pour diverses raisons, sont partis à "la recherche du bonheur" en Occident. Le plus notable était la "crise cardiaque" en 2001 chez le microbiologiste Vladimir Pasechnik, qui se distinguait par sa santé enviable. L’Occident l’avait utilisé (comme beaucoup d’autres Russes) à 200 % – aussi bien en tant que professionnel, que comme un « dénonciateur des conspirations horribles du Kremlin contre les États-Unis et tout le monde libre. »

En 1989, il est parti pour l’Angleterre et il a travaillé dans l’un des centres de virologie. Par la même occasion, il gagnait de l’argent par des bavardages sur des "armes biologiques binaires des Soviets" appelées "Novitchok", que tous les virus connus étaient depuis longtemps assimilés dans les laboratoires secrets du KGB, et qu’il y en avait déjà de nouveaux. Ils peuvent causer chez les Américains ne soupçonnant rien de "terribles maladies", comme la sclérose et l’arthrite.

Ces histoires d’horreur ont été utiles parce qu’elles donnaient une raison pour restreindre les fonds du budget pour la "biosécurité" (en fait, pour le développement de nouvelles souches mortelles). Mais, ensuite, ils ont décidé que Pasechnik est trop bavard au sujet du centre de la virologie à Salisbury, où il avait travaillé pendant 10 ans, et a il a été envoyé dans un autre monde...

La destruction du Boeing : de nouvelles versions

Le "missile de Poutine", la "main de Moscou", "Poutine, tu as tué mon fils !" – de tels titres ont émaillé les journaux et magazines de l’Occident après que dans le ciel de l’Ukraine le 17 juillet de cette année, a été abattu l’avion de ligne "Boeing" au départ des Pays-Bas à Melbourne. Cette hystérie a commencé immédiatement après le discours du président Obama, qui avait déclaré que c’était « un crime d’une envergure inconcevable » et avait accusé la Russie. Directement après, dans les mains des secrétaires de presse de la Maison-Blanche et du Département d’État apparaissent des photos floues, qui ont été transmises par la CIA et représentaient des "preuves irréfutables" que l’avion a été abattu par le missile russe "Bouk".

Cet événement a servi de prétexte à la mise en place de sanctions économiques sans précédent contre la Russie, à l’implication de l’Union européenne (avant la catastrophe, ils hésitaient s’il fallait soutenir ou non les États-Unis), à l’utilisation de presque tous les moyens de guerre interdits pour écraser la résistance en Novorussie (y compris les bombes au phosphore, les missiles balistiques, les ogives à fragmentation et autres.), à la réalisation des plans de l’alliance militaire antirusse avec la participation de l’Ukraine, de la Moldavie, de la Pologne, de la Géorgie et des pays baltes.

Seulement, un mois plus tard ont commencé à paraître des informations que les trous dans le cockpit et le fuselage prouvaient que l’avion avait été abattu dans l’air, le plus probablement par un avion de chasse des Forces de l’Air ukrainiennes. Cette version confirme le changement soudain de l’itinéraire du Boeing juste avant le crash. Cependant, c’était une chose déjà faite, tous les médias occidentaux ont immédiatement oublié cet avion, mais les sanctions et la guerre d’envergure contre le peuple russe dans l’est de l’Ukraine, non seulement ont été lancées, mais elles continuent à croître.

Tous les signes de "l’événement déclencheur" (trigger event) ou de "l’incident sous fausse bannière" (false flag incident) – c’est ainsi que les maîtres des provocations de la CIA appellent les attentats qui sont appelés à tourner l’opinion publique dans la bonne direction pour les États-Unis, pour lancer une chaîne d’événements qui mèneront à la réalisation des objectifs de "l’empire". Cela a toujours été ainsi dans l’histoire des États-Unis – l’explosion de leur propre cuirassé "Maine", qui est devenu le prétexte pour déclarer la guerre à l’Espagne en 1898 ; le naufrage planifié du paquebot "Lusitania" pour entrer au moment propice dans la Première Guerre mondiale ; la dissimulation délibérée d’informations à propos de l’attaque japonaise imminente sur la base américaine de Pearl Harbor en 1941 pour entrer dans la Seconde Guerre mondiale ; la provocation avec la destruction du contre-torpilleur américain "Maddox" dans le golfe du Tonkin pour commencer la guerre du Vietnam en 1964 ; l’explosion des tours-jumelles en 2001 pour lancer la "guerre contre le terrorisme" et se préparer à l’invasion de l’Irak et de l’Afghanistan.

Comme il arrive souvent dans de tels actes de terrorisme sont poursuivis non pas un, mais plusieurs objectifs. Dans ce cas, l’information d’un grand intérêt est qu’à bord du MH17 il y avait plus d’une centaine de microbiologistes, qui allaient au Congrès international sur le SIDA en Australie. Et parmi eux – Joep Lange, un éminent virologue de l’Université d’Amsterdam.
« Une perte irréparable du plus grand prophète et génie dans les recherches sur le SIDA », « la mort tragique d’un grand expert de renommée mondiale dans le traitement de la maladie du siècle » – c’est ce qui avait été écrit dans les nécrologies publiées dans les revues scientifiques.
Et, en effet, le laboratoire de Lange était en tête de file dans les études sur le SIDA et son traitement, y compris l’utilisation combinée des médicaments de la thérapie antirétrovirale, et avait développé des méthodes de prévention de la transmission du virus de la mère à l’enfant. Depuis plusieurs années (2002-2004), il a dirigé l’organisation internationale pour la lutte contre le SIDA. Avec lui à bord il y avait ses collègues néerlandais Jacqueline van Tongeren, M. Adriana De Schutter, L. Van Mens et d’autres chercheurs. Il est possible qu’ils amenaient avec eux les résultats de plusieurs années de travail, et qui sait, peut-être même un remède tant attendu contre cette terrible maladie – en fait, c’est peu de temps avant la conférence que le personnel de Lange savait que son intervention devrait faire sensation dans le monde scientifique.

Dans le même Boeing (soi-disant, par une coïncidence malheureuse), il y avait aussi le représentant de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) Glenn Thomas, qui "était en faute" du fait de son interview où sa langue lui a fourché à propos du rôle criminel de son organisation dans la propagationde l’épidémie d’Ebola en Afrique de l’Ouest.
En éliminant des chercheurs européens sur le SIDA, ainsi qu’un fonctionnaire honnête de l’OMS, de cette façon les Américains ont donné la leçon à tous ceux qui sincèrement cherchent à trouver un traitement contre le SIDA et Ebola : « Il ne faut pas traiter et prévenir ces maladies, elles nous sont très utiles pour éliminer la foisonnante racaille humaine. »
Ce n’est pas par hasard que dans une série d’articles on se rappelait qu’en 1998 un avion de Swissair s’était écrasé au-dessus de l’Atlantique, à bord duquel se trouvait l’un des chercheurs les plus brillants sur le SIDA Jonathan Mann et son épouse M.L Clements, elle aussi un virologue connue. Mann était en tête d’une structure de l’OMS affectée à lutter contre le SIDA, et, comme l’avaient écrit ses collègues, sa mort a porté un coup puissant sur tous les projets de l’organisation dans la lutte contre cette terrible maladie. Les causes de l’accident ne sont toujours pas élucidées à ce jour (aucun des experts sérieux ne croit à la version officielle que l’un des pilotes a fait tomber le mégot de la cigarette, ce qui a provoqué un incendie de l’intérieur de l’avion).

La Russie à la croisée des chemins

Les États-Unis utilisent contre nous (la Russie – NDT) un énorme arsenal d’armes biologiques : les OGM et les plantes et les organismes transgéniques (dont la plupart, selon le témoignage des experts occidentaux, provoquent la suppression du système immunitaire, le cancer, l’infertilité et les maladies du cerveau), chaque année, ils organisent des dizaines de nouvelles épidémies du virus de la grippe, de maladies d’animaux ("grippe porcine" et "grippe aviaire") et de plantes, propagent diverses maladies allergiques, vendent des médicaments et des vaccins dont les "effets secondaires" nous sont inconnus, des additifs alimentaires et ainsi de suite. Ils développent encore de nouveaux virus : "l’hantavirus" mortel, "le virus – tueur australien" se recombinant sur base de la variole, une nouvelle génération de maladies "non létales" (seulement avec "une atteinte totale"), les "biorégulateurs" capables de créer une dépression à grande échelle, de changer le rythme cardiaque, de provoquer l’insomnie. Il n’est pas exclu qu’on crée les "signets" biologiques – les virus latents, qui doivent s’activer après un certain temps.

Autour de la Russie ont été créés des biolaboratoires militaires américains : en Géorgie (d’où, selon les experts, en 2013 s’est propagée l’épidémie de la "grippe porcine"), au Kazakhstan, en Kirghizie, dans les États baltes. Les autorités américaines allouent d’énormes fonds aussi bien pour le développement des nouveaux virus, que pour la bioprotection (uniquement pour le programme "BioShield" ils dépensent annuellement plus de 6 milliards de dollars).

Chez nous, après l’effondrement de l’Union Soviétique pendant une longue période, presque aucune attention n’a été accordée à cet important aspect de la protection du pays. Les instituts et les centres (de recherche, NDT) se fermaient, les jeunes professionnels partaient pour l’Occident. Il ne reste plus que les enthousiastes et les chercheurs âgés qui travaillent pour un salaire de misère (18 000 roubles pour les chercheurs en chef, 27 000 – pour les professeurs et docteur en sciences).

Des bâtiments délabrés, de l’équipement désuet, et "l’étranglement" par les responsables libéraux. On en était arrivé à ce que, en 2000, le "Mossenergo" de Tchoubaïs pour "défaut de paiement" a essayé de couper l’électricité à l’Institut de virologie d’Ivanovsky. Non seulement cela aurait détruit une collection unique de micro-organismes, mais aussi une partie des échantillons de virus aurait pu s’échapper dans l’atmosphère ! À cette époque, c’est par miracle qu’ils ont réussi à se débattre avec les "managers efficaces". Et le dernier dans le temps était le coup infligé par la "réforme" de l’ASR (académie des sciences russe, NDT) – en fait, sa liquidation et le transfert de la gestion aux mains du comptable "efficace" de Krasnoyarsk.

Personne n’a empêché la vraie chasse aux chercheurs par des agents de la CIA – chercheurs, patriotes qui étaient simplement éliminés sur le territoire de notre propre pays ! En janvier 2002, a été abattu à coups de battes de base-ball (pour savoir d’où vient l’ordre de liquidation !) et étranglé dans son propre immeuble à Moscou, le membre correspondant de l’ASR, directeur de l’Institut de psychologie A. Bruchlinsky, psychologue et biologiste, auteur d’ouvrages sur la reconnaissance des terroristes. Deux ans après sa mort, son adjoint, le professeur V. Droujinine, a été tué.

En novembre 2002, a été tué par balle le professeur B. Sviatsky – l’expert en infections et maladies infantiles de l’Université nationale russe de recherches en médecine de Pirogov. Le membre correspondant de l’Académie russe des sciences médicales, le plus grand virologue et microbiologiste, expert en armes biologiques, L. Stratchounsky, a été abattu en 2005 par battes de base-ball dans sa chambre d’hôtel "Slavianka" à Moscou. En 2006, le généticien et biologiste, membre correspondant de l’ASR, L. Korotchkine a été tué.

Une perte énorme pour la microbiologie nationale a été la mort du chef de la chaire de microbiologie de l’Université nationale russe de recherches en médecine, le professeur V.Korchounov, l’un des plus grands virologues de renommée mondiale, l’expert reconnu en "contre-arme" biologique. En 2002, des "hooligans inconnus" ont abattu par battes de base-ball le chercheur âgé de 56 ans, quelques jours après la publication d’un article de journal qui disait que le chercheur était sur le point de la plus grande découverte – un vaccin universel contre toutes les armes biologiques ! Suite à la mort de Korchounov, le travail dans cet important domaine de la science a été arrêté. Des centaines, si ce n’est pas des milliers de personnes en Russie se sont retrouvées condamnées à mort en raison de l’arrêt des recherches.

Les pages tragiques de l’histoire moderne nous persuadent que les États-Unis sont capables de toutes les actions les plus barbares et criminelles dans leur quête maniaque pour la domination du monde.
Il est très révélateur que les pays qu’ils envahissent sous prétexte de la "défense des droits de l’homme", de "l’humanisme", de la "démocratie" deviennent non seulement le théâtre des guerres civiles les plus graves, mais aussi soient accompagnés des épidémies de diverses nouvelles maladies, inconnues jusque-là.
D’énormes masses de personnes au Vietnam, en Yougoslavie et en Irak ont été exposées à des substances mutagènes qui ont conduit à des conséquences désastreuses. Des difformités terribles chez les nourrissons, la création de toute une génération de dégénérés, des changements irréversibles au niveau génétique, ce qui affectera toutes les générations futures – ce sont quelques-unes des conséquences des "actions humanitaires".
Et en outre, toutes les organisations internationales, y compris l’ONU, étant maintenant sous le contrôle total des États-Unis, jouent le rôle de la "couverture" dans la mise en œuvre de ce génocide. L’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), les "Médecins Sans Frontières" et d’autres organismes, autre fois ayant autorité, écrivent leurs "rapports objectifs" sous la dictée de l’Occident, et, maintenant, on ne peut plus leur faire confiance. Ils ont agi dans la même équipe que les agresseurs en Irak, en Afghanistan et en Libye.

La veille de l’invasion en Irak, ils ont docilement donné la conclusion que Saddam Hussein possédait « d’énormes stocks d’armes biologiques et chimiques », ce qui a servi pour les États-Unis d’un des principaux arguments pour déclencher la guerre. L’année dernière, ils ont accusé le gouvernement syrien d’avoir utilisé des armes chimiques et biologiques contre son propre peuple, quand environ 300 personnes ont été tuées en août par du gaz neuroparalytique sarin dans une banlieue de Damas. Bien qu’à cette époque, les preuves irréfutables ont été fournies que le sarin avait été utilisé par les militants d’al-Qaïda, et qu’il n’a pas été obtenu d’autre part que des entrepôts américains.

La solution – antimondialisation

L’élimination impitoyable des concurrents et, au fond, la tyrannie biologique des États-Unis détruisent la souveraineté des pays périphériques du monde, les contraignent à dépendre de l’aide, de l’expertise, des médicaments de l’étranger. Cette dépendance coloniale porte atteinte à la sécurité des nations, ce qui les rend otages de l’Occident, "cobayes" pour diverses expériences médicales et biologiques dirigées contre leur santé et leur vie.

Le contrepoids à l’empire de bioterrorisme ne peut être que le rejet de la "mondialisation" vicieuse, la construction d’un monde multipolaire. Tous les pays devraient, étape par étape, refuser de coopérer avec les États-Unis et l’OTAN, les organisations internationales pro-américaines existantes.
Il est nécessaire de conclure des accords au niveau international. Par exemple, en Afrique, les états doivent travailler ensemble pour lutter contre les nouvelles souches du virus Ebola importées. Dans le Sud-Est asiatique – contre un nouveau syndrome très aigu de la "pneumonie atypique". C’est au niveau national que nous devons prendre soin de notre science, créer nos propres instituts et laboratoires nationaux, des centres de recherche puissants pour lutter contre les armes virales et génétiques.
Source « Contrôle national »


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