Führer de fabrication anglo-saxonne
(FAITS des arrières de l’ennemi – chapitre 11)
8-08-2014
Je propose à
l’attention des lecteurs un article intelligent
"Le Führer de fabrication
anglo-saxonne"
(voir ici), publié sur Dokumentika.org, où vous pouvez également trouver des photos et des vidéos confirmant les faits de l’article.
Mais d’abord, à titre d’introduction vidéo, j’invite les lecteurs à voir des faits en vidéo :
« Comment on trahit l’Ukraine. L’histoire d’une trahison ». « La
guerre sur le tas-2 » et tirer des conclusions appropriées à propos d’eux-mêmes et des héros de la
résistance antifasciste, qui dans
un combat inégal dans la Guerre Patriotique contre extermination des Slaves donnent leur
vie pour ceux qui ne sont pas
avec eux :
Ensuite, voici les faits de
l’article « Führer de fabrication anglo-saxonne ».
Tout ce qui s’est passé en
Allemagne dans la période entre les deux guerres mondiales a eu lieu sous le contrôle de Washington ou de
Londres.
Depuis le début de ladite "Glasnost" et de la "nouvelle pensée",
depuis presque un quart de siècle,
on essaye de nous inculquer que nous avons vécu dans un pays totalitaire,
qui était gouverné par une bande de criminels, ayant à leur actif – une
multitude des crimes odieux, y
compris le déclenchement de la Seconde
Guerre mondiale.
Certains "historiens", genre l’agent secret à la noix fugitif V. Rezoun, prônent soigneusement dans les masses la
version "véridique" concoctée par l’Intelligence britannique sur la montée d’Hitler au pouvoir grâce à un rôle
très actif de l’URSS et de
Staline en personne. Le scélérat perfide Staline a prévu d’écraser les pays de "la démocratie
occidentale", à ce qu’il dit, à
l’aide du benêt naïf d’Hitler, qu’il avait même appelé respectivement
– "le brise-glace de la révolution".
Mais que ce "brise-glace" ait soudainement "recouvré la vue", ait mis la marche arrière et ait failli écraser Staline, qui l’a mis au monde...
Rezoun et les "experts"
semblables à lui ont écrit des dizaines,
voire des centaines de livres qui persuadent le lecteur que si le perfide Staline n’avait
pas prévu de s’emparer du monde
entier, alors, aucun Hitler n’aurait
existé. Ainsi que la Seconde Guerre mondiale, et des millions de
victimes.
Mais d’abord, vous devez comprendre : d’où, à proprement parler, vient Hitler ? Et encore
mieux – à suivre sa vie après la Première Guerre mondiale. En bref, Adolf Hitler
fils d’Aloïs à l’époque était le chef
d’un parti nain et écornifleur professionnel. Il se positionnait comme
écrivain, cependant, les maigres revenus
des ventes de "Mein Kampf" (entre 1925 et 1929, un peu plus de 25.000 exemplaires
vendus) permettaient non seulement de nourrir à peine
Hitler lui-même, mais aussi ses animaux domestiques.
Toutefois, cela n’a pas empêché l’"écrivain" parasite Hitler de
mener, au milieu des années 1920, un
mode de vie très prodigue
– une villa dans
les Alpes, une voiture avec chauffeur personnel...
Et ce, au moment
où le reste de l’Allemagne d’après-guerre
végétait dans l’indigence !
Au début des années 1930, Hitler s’était déjà monté une suite impressionnante – des gardes
du corps, des secrétaires, et même
des cuisiniers. En ce moment, son parti a
commencé à s’agrandir et à gagner en
force de façon étonnante. Ainsi, en
août 1929, environ 200 000 membres du parti viennent dans des trains
spécialement commandés (!) à Nuremberg au congrès
du NSDAP. Et, comme vous
pouvez le deviner, ces trains n’ont pas été loués aux frais du budget de l’État.
Dans ce contexte, une question se pose : où Hitler et son parti ont-ils trouvé de tels fonds ? Dans le pays, la situation est loin d’être confortable, pour ne pas dire
plus, des chômeurs à tire-larigot, une inflation monstrueuse, l’Allemagne paye des indemnités selon le traité de rapines de Versailles, et le futur Führer et ses "Parteigenossen (membres du parti – NDT)" la
font courte et bonne !
Ici, il faut souligner qu’après la
Première Guerre mondiale, l’Allemagne non seulement a été ruinée et asservie par les
indemnités de guerre, mais aussi avait perdu de fait son indépendance. En
particulier, cela consistait en son économie, qui était sévèrement contrôlée par les
multinationales et consortiums étrangers (principalement – américains
et britanniques).
Par exemple, le célèbre consortium allemand de produits chimiques "IG
Farbenindustrie" a été contrôlé
par l’American "Standard
Oil" (c’est-à-dire, par D. Rockefeller), "Siemens" et "AEG" sont
retombé dans la vassalité de la "General
Electric", propriété de J. P.
Morgan. 40 % des réseaux téléphoniques
allemands appartenaient à une multinationale
américaine ITT, les entreprises sidérurgiques allemandes pour
la plupart ont été contrôlées par le
même Rockefeller, la société "Opel" est
tombée sous contrôle de "General Motors" (qui, soit dit en passant, y est toujours aujourd’hui).
Ne sont pas passés inaperçus par les Américains et les Anglais, le secteur banquier allemand, et les chemins de fer, et, en général, tous les "actifs" plus
ou moins de valeur, y compris les politiciens et chefs de parti.
La célèbre compagnie pétrolière
"Standard Oil", dirigée par
John Rockefeller (sur la photo à gauche,
avec le fils David), pendant la guerre, contrôlait la société chimique allemande "I.G. Farbenindustrie" (encyclopediaofarkansas.net)
Par conséquent, tout ce qui s’est
passé en Allemagne pendant
la période entre les deux guerres mondiales ne pouvait pas arriver
tout seul, sinon seulement avec la permission de Washington ou de Londres. Et la
promotion d’Hitler au pouvoir, bien sûr, ne pouvait aucunement avoir échappé à l’attention
des maîtres anglo-américains de l’Allemagne. Et elle
ne leur a pas échappé. Plutôt, au
contraire : Hitler a toujours
suscité un grand intérêt parmi les
maîtres les plus influents aussi
bien aux États-Unis qu’en Angleterre.
D’ailleurs,
tellement puissants qu’ils ont su, en fait, nommer comme chef de file du peuple allemand, une personne n’ayant
même pas la nationalité allemande. Adolf le fils d’Aloïs est devenu officiellement citoyen allemand en 1932 seulement :
avant il fût citoyen
autrichien. La même année, Hitler
rencontre, à bannière levée, beaucoup de gens intéressants
– le financier britannique Norman et John Foster
Dulles (futur secrétaire
d’État) et son frère Allen (futur chef de la
CIA).
Il est peu probable que ces messieurs discutaient avec le führer de la pluie et du beau temps ou des perspectives de développement de brasserie
allemande. Sinon, plus tard, pourquoi
les frères Dulles ont fait tous leurs
d’efforts pour que ce fait de
leur biographie ne soit pas livré
à une large publicité ?
Au début des années 30, le secrétaire d’État John Foster Dulles
dissimulait le fait de ses rencontres avec Hitler (goodquotes.com)
La suite est
connue : Hitler devient,
presque par ordre, Führer, et dès ce
moment il reçoit une telle aide que pâlit le
land-lease tant aimé par les Anglais
et les Américains, qui, à leur avis, a aidé l’URSS
à gagner la Seconde Guerre mondiale.
En juin 1933
(c’est-à-dire, six mois après la
nomination d’Hitler comme chancelier du Reich),
l’Allemagne reçoit des États-Unis un crédit
de 2 milliards de dollars et de l’Angleterre – 1 milliard de dollars. En 1934, "Standard Oil" construit en Allemagne
des usines de production d’essence,
qui seront utiles à Hitler déjà dans un avenir très proche. Les entreprises américaines "Pratt & Whitney" et "Douglas"
transmettent aux avionneurs allemands
un certain nombre de brevets, et en général fournissent
une assistance presque amicale. Par
ailleurs, cette aide (investissements)
a atteint environ 500 millions de
dollars par an, donc, après cela,
il est ridicule de se rappeler de Staline, qui non
seulement n’a rien donné à Hitler,
mais, peu après, a pris un crédit
allemand de 200 millions de marks.
Les
généreux crédits occidentaux, les technologies et le soutien "moral" ont
permis à Hitler de transformer l’Allemagne d’un pays misérable en l’un des
leaders de l’économie européenne d’avant-guerre. En outre, non seulement de
récupérer les territoires perdus après la Première Guerre mondiale, mais aussi
d’élargir considérablement les frontières du Reich au détriment de l’Autriche
et de la Tchécoslovaquie. Et la formation de l’armée allemande de premier
ordre, c’est un mérite de plein droit des sponsors anglo-saxons.
Il est
clair que les miracles n’existent pas, et que l’aide occidentale n’a pas été
fournie à Hitler pour sa belle moustache. Les grands messieurs de Washington et
de Londres, sachant compter chaque sou, ont considéré Hitler exclusivement
comme un projet à long terme visant finalement à écraser la Russie Soviétique hors
contrôle de l’Entente, et puis, de jeter le grappin sur ses ressources et, donc,
se procurer de cette façon un "Geschäft" (affaire – NDT) très solide.
Donc, en
effet, Hitler était le "brise-glace". Sauf que son chemin allait non pas vers l’Ouest
comme essaye de le présenter le fugitif "prisonnier d’opinion" et le meilleur ami du renseignement britannique
Rezoun, mais vers l’Est. "Les pays de véritable démocratie" préparaient
Hitler longuement et délibérément à "élargir son espace vital" vers
l’Est, en fournissant généreusement à l’Allemagne tout ce dont on peut
imaginer, et cette aide a continué pendant la guerre.
Mais un
moment donné, le Führer a décidé de changer les règles et de prendre part au
jeu comme un partenaire à part entière, ce qui, bien sûr, ne faisait pas partie
des plans de ses protecteurs. Cependant, le fils d’Aloïs, échappé au contrôle, espérait
jusqu’au dernier moment "s’entendre" avec ses sponsors. C’est ce qui explique la
"fuite" étrange de Rudolf Hess en Angleterre et sa mort tout aussi
étrange de nombreuses années plus tard. Cela explique aussi le "salut"
miraculeux de l’armée britannique à Dunkerque, et aussi "la guerre assise" de 1939-40 (lien vers "Drôle de guerre :
comment les alliés ont trahi la Pologne") soulève encore beaucoup de
questions.
L’ennemi
numéro un
Tibet : les secrets du sommet du monde
Le 25 avril 1945, les soldats
soviétiques ont trouvé dans une des caves de Berlin six Tibétains morts couchés
en forme de cercle au centre duquel il y avait un des leurs avec des gants
verts. Selon certains témoignages, c’est précisément ce moine en gants verts qui,
pendant une longue période, a été en contact direct avec Hitler.
Les habitants du Tibet pacifique – conseillers d’Hitler ?
Informations de première main transmises par
Vicky Haut
Agence centrale d’information de Novorussie
Novorus.info
Traduction : GalCha
je vous remercie de m'apprendre tout ceci mais avoir Staline comme président,non merci ;très peu pour moi,il est des réalités qui font froid dans le dos
RépondreSupprimerNous vous remercions d'avoir lu cet article. Nous devons attirer votre attention sur le fait qu'il ne parle pas du tout de Staline. Il met en parallèle et en évidence l'histoire de la 2e Guerre et de ce qui se passe actuellement en Ukraine. Hitler était un produit de l'occident et des USA pour détruire l'Union Soviétique. De la même manière, ils ont organisé le coup d'état armé en Ukraine en février 2014 en mettant au pouvoir des forces fascisantes extrêmement hostiles à la Russie, dans le but unique de l'affaiblir et de la disloquer. On peut critiquer Staline mais c'est lui qui était le Commandant Suprême de l'armée qui a combattu et abattu le fascisme.
SupprimerJ'entends encore mon père m'expliquer ,il y a une quarantaine d'années de celà, que " ...les américains ont "laissé " l'Allemagne se réarmer afin de créer un barrage au communisme..."
RépondreSupprimerAujourd'hui, même scénario, les néo-nazebroques de Pravy Sector et les Ultras de Svoboda ont la bénédiction de l'occident. Le fascisme est bel et bien un faux-nez du libéralisme !