Empire du BIOTERRORISME - partie 2/3
12.08.2014
Ici, la partie 1/3
Ici, la partie 2/3
Ici, la partie 2/3
La destruction du Boeing : de
nouvelles versions
Le "missile de Poutine", la "main de Moscou", "Poutine,
tu as tué mon
fils !" – de
tels titres ont émaillé les journaux et
magazines de l’Occident après que dans le ciel de l’Ukraine le
17 juillet de cette année, a
été abattu l’avion de ligne "Boeing" au départ des Pays-Bas à Melbourne. Cette hystérie a
commencé immédiatement après le discours
du président Obama, qui
avait déclaré que c’était « un
crime d’une envergure inconcevable » et avait
accusé la Russie. Directement après, dans
les mains des secrétaires de presse de la
Maison-Blanche et du Département d’État apparaissent
des photos floues, qui
ont été transmises par la
CIA et représentaient des "preuves irréfutables" que l’avion a été abattu par le missile russe "Bouk".
Cet événement a servi
de prétexte à la mise en place de
sanctions économiques sans
précédent contre la Russie, à l’implication de l’Union européenne (avant la catastrophe, ils hésitaient s’il fallait soutenir ou non les
États-Unis), à l’utilisation de presque tous les moyens de guerre interdits pour écraser
la résistance en Novorussie (y
compris les bombes au phosphore, les missiles balistiques, les ogives à fragmentation et
autres.), à la réalisation des plans de l’alliance
militaire antirusse avec la
participation de l’Ukraine, de la
Moldavie, de la Pologne, de la Géorgie et des pays baltes.
Seulement, un
mois plus tard ont commencé à paraître des
informations que les trous dans
le cockpit et le fuselage prouvaient
que l’avion avait
été abattu dans l’air, le plus probablement par un avion de chasse des Forces de l’Air ukrainiennes. Cette
version confirme le changement soudain
de l’itinéraire du Boeing juste
avant le crash. Cependant, c’était une chose déjà faite, tous
les médias occidentaux ont immédiatement oublié
cet avion, mais les sanctions et
la guerre d’envergure contre le
peuple russe dans l’est de
l’Ukraine, non seulement ont été lancées, mais
elles continuent à croître.
Tous les signes de "l’événement
déclencheur" (trigger event) ou de "l’incident sous fausse bannière" (false
flag incident) – c’est
ainsi que les maîtres des provocations de
la CIA appellent les attentats qui
sont appelés à tourner l’opinion publique dans
la bonne direction pour les
États-Unis, pour lancer une
chaîne d’événements qui mèneront à la
réalisation des objectifs de "l’empire". Cela
a toujours été ainsi dans l’histoire des
États-Unis – l’explosion de
leur propre cuirassé "Maine",
qui est devenu le prétexte pour déclarer
la guerre à l’Espagne en 1898 ; le naufrage planifié du paquebot "Lusitania" pour entrer au moment propice dans la
Première Guerre mondiale ; la dissimulation délibérée
d’informations à propos de l’attaque
japonaise imminente sur la
base américaine de Pearl Harbor en
1941 pour entrer dans la
Seconde Guerre mondiale ; la provocation avec
la destruction du contre-torpilleur américain "Maddox" dans le golfe du Tonkin pour commencer la guerre du
Vietnam en 1964 ; l’explosion des tours-jumelles en
2001 pour lancer la "guerre contre le terrorisme" et se
préparer à l’invasion
de l’Irak et de l’Afghanistan.
Comme il arrive
souvent dans de tels actes de terrorisme sont
poursuivis non pas un, mais plusieurs
objectifs. Dans ce cas, l’information d’un grand intérêt est qu’à bord du MH17 il y avait plus d’une
centaine de microbiologistes, qui
allaient au Congrès international sur
le SIDA en Australie. Et parmi eux – Joep Lange, un éminent
virologue de l’Université d’Amsterdam.
« Une perte irréparable du plus grand prophète et génie dans les recherches sur le SIDA », « la mort tragique d’un grand expert de renommée mondiale dans le traitement de la maladie du siècle » – c’est ce qui avait été écrit dans les nécrologies publiées dans les revues scientifiques.
Et, en effet, le laboratoire de Lange était en tête de file dans
les études sur le SIDA et son traitement, y
compris l’utilisation combinée des médicaments de la thérapie antirétrovirale, et avait développé des méthodes de prévention de la transmission
du virus de la mère à
l’enfant. Depuis plusieurs années (2002-2004), il a dirigé l’organisation internationale pour la
lutte contre le SIDA. Avec
lui à bord il y avait ses collègues
néerlandais Jacqueline van Tongeren, M. Adriana De Schutter, L. Van Mens et
d’autres chercheurs. Il est possible qu’ils
amenaient avec eux les résultats de plusieurs
années de travail, et
qui sait, peut-être même un
remède tant attendu contre cette
terrible maladie – en fait, c’est peu de temps avant la conférence que
le personnel de Lange savait
que son intervention devrait faire
sensation dans le monde scientifique.
Dans le même Boeing (soi-disant, par une coïncidence malheureuse), il y avait aussi le représentant de l’Organisation Mondiale
de la Santé (OMS) Glenn Thomas, qui
"était en faute" du fait de
son interview où sa
langue lui a fourché à propos du rôle criminel de
son organisation dans la propagationde l’épidémie d’Ebola en Afrique
de l’Ouest.
En éliminant des chercheurs européens sur le SIDA, ainsi qu’un fonctionnaire honnête de l’OMS, de cette façon les Américains ont donné la leçon à tous ceux qui sincèrement cherchent à trouver un traitement contre le SIDA et Ebola : « Il ne faut pas traiter et prévenir ces maladies, elles nous sont très utiles pour éliminer la foisonnante racaille humaine. »
Ce n’est pas par
hasard que dans une série d’articles on se rappelait qu’en 1998 un avion de Swissair s’était écrasé au-dessus de l’Atlantique, à bord duquel se trouvait l’un des chercheurs les
plus brillants sur le SIDA Jonathan Mann et
son épouse M.L Clements, elle aussi un virologue connue. Mann était
en tête d’une structure de l’OMS affectée à lutter contre le SIDA, et, comme l’avaient écrit ses collègues, sa mort a
porté un coup puissant sur tous les projets
de l’organisation dans la lutte contre cette terrible maladie. Les causes de l’accident ne
sont toujours pas élucidées à ce jour (aucun des experts sérieux
ne croit à la
version officielle que l’un
des pilotes a fait tomber le mégot
de la cigarette, ce qui a provoqué un incendie
de l’intérieur de l’avion).
La Russie à la croisée des chemins
Les États-Unis utilisent contre nous (la Russie – NDT) un énorme
arsenal d’armes biologiques : les
OGM et les plantes et les organismes transgéniques (dont la plupart, selon le témoignage des experts occidentaux, provoquent la
suppression du système immunitaire, le cancer, l’infertilité et les maladies du
cerveau), chaque année, ils organisent des dizaines de nouvelles
épidémies du virus de la grippe, de
maladies d’animaux ("grippe porcine" et "grippe aviaire") et de
plantes, propagent diverses
maladies allergiques, vendent des
médicaments et des vaccins dont les "effets
secondaires" nous sont inconnus, des additifs alimentaires et ainsi de suite. Ils développent encore de
nouveaux virus : "l’hantavirus" mortel,
"le virus – tueur australien" se recombinant sur base
de la variole, une nouvelle génération de maladies "non létales" (seulement avec "une atteinte totale"), les "biorégulateurs" capables de créer une dépression à grande échelle, de
changer le rythme cardiaque, de provoquer l’insomnie. Il
n’est pas exclu qu’on crée les "signets" biologiques – les
virus latents, qui doivent s’activer après
un certain temps.
Autour de la
Russie ont été créés des biolaboratoires militaires
américains : en Géorgie (d’où, selon les experts, en
2013 s’est propagée l’épidémie de
la "grippe porcine"), au
Kazakhstan, en Kirghizie, dans
les États baltes. Les autorités
américaines allouent d’énormes fonds
aussi bien pour le développement des nouveaux virus, que
pour la bioprotection (uniquement pour le programme "BioShield"
ils dépensent annuellement plus
de 6 milliards de dollars).
Chez nous, après
l’effondrement de l’Union Soviétique pendant
une longue période, presque aucune
attention n’a été accordée à cet
important aspect de la protection du
pays. Les instituts et les centres (de
recherche, NDT) se fermaient, les jeunes professionnels partaient pour l’Occident. Il
ne reste plus que les enthousiastes et les chercheurs âgés qui
travaillent pour un salaire de misère (18 000 roubles pour les chercheurs en chef, 27 000 –
pour les professeurs et docteur en sciences).
Des bâtiments
délabrés, de l’équipement désuet, et "l’étranglement" par les responsables libéraux. On en était arrivé à ce que, en 2000, le "Mossenergo" de Tchoubaïs pour "défaut de paiement" a essayé de couper
l’électricité à l’Institut
de virologie d’Ivanovsky. Non
seulement cela aurait détruit une
collection unique de micro-organismes, mais
aussi une partie des échantillons
de virus aurait pu s’échapper dans l’atmosphère ! À cette époque, c’est par miracle qu’ils ont réussi à se débattre avec les "managers efficaces". Et le dernier dans le temps était le coup infligé par la "réforme" de l’ASR (académie des sciences russe, NDT) – en
fait, sa liquidation et
le transfert de la
gestion aux mains du comptable "efficace" de Krasnoyarsk.
Personne n’a empêché
la vraie chasse aux chercheurs par des agents de la CIA – chercheurs, patriotes qui étaient
simplement éliminés sur le territoire de notre
propre pays ! En janvier 2002, a été abattu
à coups de battes de base-ball (pour savoir d’où vient l’ordre de
liquidation !) et étranglé dans son
propre immeuble à Moscou, le membre correspondant de l’ASR, directeur de l’Institut de
psychologie A. Bruchlinsky, psychologue et biologiste, auteur
d’ouvrages sur la reconnaissance des terroristes. Deux ans
après sa mort, son adjoint, le
professeur V. Droujinine, a été tué.
En novembre 2002, a été tué par balle le professeur B. Sviatsky – l’expert en infections et maladies infantiles de l’Université nationale russe de recherches en médecine
de Pirogov. Le membre correspondant de l’Académie russe des sciences médicales, le plus grand virologue et
microbiologiste, expert en
armes biologiques, L. Stratchounsky, a
été abattu en 2005 par battes de base-ball dans
sa chambre d’hôtel "Slavianka" à Moscou. En 2006, le
généticien et biologiste, membre correspondant de l’ASR, L. Korotchkine a été tué.
Une perte
énorme pour la microbiologie nationale a
été la mort du chef de
la chaire de microbiologie de l’Université nationale russe de recherches en médecine,
le professeur V.Korchounov, l’un
des plus grands virologues de
renommée mondiale, l’expert reconnu en
"contre-arme" biologique. En 2002, des "hooligans inconnus" ont abattu par battes de base-ball le chercheur âgé de 56 ans, quelques jours après la publication
d’un article de journal qui disait que le chercheur était sur le point de
la plus grande découverte – un
vaccin universel contre toutes les armes
biologiques ! Suite à la
mort de Korchounov, le travail dans cet important domaine de la
science a été arrêté. Des
centaines, si ce n’est pas des milliers de personnes
en Russie se sont retrouvées condamnées à mort en raison de
l’arrêt des recherches.
Les pages tragiques
de l’histoire moderne nous persuadent que les États-Unis sont
capables de toutes les actions les plus barbares et criminelles dans leur
quête maniaque pour la
domination du monde.
Il est très révélateur que les pays qu’ils envahissent sous prétexte de la "défense des droits de l’homme", de "l’humanisme", de la "démocratie" deviennent non seulement le théâtre des guerres civiles les plus graves, mais aussi soient accompagnés des épidémies de diverses nouvelles maladies, inconnues jusque-là.
D’énormes
masses de personnes au Vietnam, en Yougoslavie et en Irak ont
été exposées à des substances mutagènes qui
ont conduit à des conséquences désastreuses. Des difformités terribles chez
les nourrissons, la création de
toute une génération de dégénérés, des
changements irréversibles au niveau génétique, ce qui affectera toutes les générations futures – ce
sont quelques-unes des conséquences
des "actions
humanitaires".
Et en outre, toutes
les organisations internationales, y compris l’ONU, étant maintenant sous
le contrôle total des États-Unis, jouent le rôle de la "couverture" dans la
mise en œuvre de ce génocide. L’Organisation Mondiale
de la Santé (OMS), les "Médecins Sans Frontières" et d’autres organismes, autre fois ayant autorité, écrivent leurs "rapports objectifs" sous la dictée de
l’Occident, et, maintenant,
on ne peut plus leur faire confiance. Ils ont agi dans
la même équipe que les agresseurs en
Irak, en Afghanistan et en Libye.
La veille de l’invasion en Irak, ils ont docilement donné la
conclusion que Saddam Hussein possédait « d’énormes stocks
d’armes biologiques et chimiques », ce qui a servi pour les États-Unis d’un
des principaux arguments pour déclencher
la guerre. L’année dernière, ils
ont accusé le gouvernement syrien d’avoir
utilisé des armes chimiques et biologiques contre
son propre peuple, quand environ
300 personnes ont été tuées en
août par du gaz
neuroparalytique sarin dans une banlieue de Damas. Bien
qu’à cette époque, les
preuves irréfutables ont
été fournies que le sarin avait
été utilisé par les militants d’al-Qaïda, et qu’il n’a pas été obtenu d’autre part que
des entrepôts américains.
La solution – antimondialisation
L’élimination
impitoyable des
concurrents et, au fond, la tyrannie biologique des
États-Unis détruisent la
souveraineté des pays périphériques du monde, les contraignent à dépendre de l’aide,
de l’expertise, des médicaments de l’étranger. Cette dépendance coloniale porte atteinte à la sécurité des nations,
ce qui les rend otages de l’Occident, "cobayes" pour
diverses expériences médicales et
biologiques dirigées contre leur santé et leur vie.
Le contrepoids à l’empire de bioterrorisme ne peut être que le rejet de la "mondialisation" vicieuse, la construction d’un monde multipolaire. Tous les pays devraient, étape par étape, refuser de coopérer avec les États-Unis et l’OTAN, les organisations internationales pro-américaines existantes.
Il est nécessaire de conclure des accords au niveau international.
Par exemple, en Afrique, les états doivent travailler ensemble pour
lutter contre les nouvelles souches
du virus Ebola importées. Dans le Sud-Est
asiatique – contre un nouveau syndrome très aigu de la "pneumonie atypique". C’est au niveau national que nous
devons prendre soin de notre science,
créer nos propres instituts et laboratoires nationaux, des centres de
recherche puissants pour lutter
contre les armes virales et génétiques.
Source : rusvesna.su : Империя Биотеррора
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