À propos des mercenaires étrangers de l’OTAN dans le chaudron de Debaltsevo ou ce que n’ont pas dit Merkel et Hollande
Publié le
7 février 2015
C'est vrai, ça, qu'est-ce qui leur a pris à ces deux-là de se précipiter à Kiev, puis chez Poutine, et sans Kerry qui n'était pas vraiment loin? Les plus grandes hypothèses ont été lancées sur le besoin de Porochenko de se refaire une santé à sa petite armée, de besoin vital de plan de paix (bidon), de faire respecter le cessez-le-feu-de-Minsk, et d'autres... Mais ça pourrait vraisemblablement aussi être le besoin de faire disparaître des traces trop évidentes de l'implication de l'OTAN dans le conflit. Car cela deviendrait évident que ce conflit perdrait de sa nature de "guerre civile" pour devenir "guerre tout court".
Et Porochenko qui crie au loup à longueur de temps? C'est pour mieux te confondre, mon enfant... Et Porochenko qui fait des mobilisations à tout rompre? C'est en fin de compte pour y mettre les soldats de l'OTAN, en douce, et en toute discrétion...
(BenDeko)
Les
USA et l’OTAN, depuis longtemps, participent militairement dans le conflit en
Ukraine, et le fait qu’ils ont parlé ouvertement de l’intention de fournir les
armes à Kiev prouve qu’ils sont en train de perdre cette guerre, écrit le
chroniqueur du magazine en ligne The Strategic Culture Foundation, Finian
Cunningham.
Selon
Cunningham, les médias occidentaux affirment que les États-Unis et l’OTAN
soi-disant hésitent à fournir ou non les armes à Kiev. Mais tout cela est parole
creuse, affirme l’auteur. La véritable explication de leurs actions, c’est que
l’OTAN est déjà impliquée dans la guerre en Ukraine et la perd, c’est pourquoi elle
est obligée d’envoyer de l’aide militaire supplémentaire pour arrêter les
pertes croissantes, a-t-il dit.
L’idée
que Washington et ses alliés de l’OTAN, la Grande-Bretagne, les pays baltes et
la Pologne, ont décidé seulement maintenant de procéder au soutien militaire de
Kiev, Cunningham appelle cela, ridicule. Ils ont juste commencé à comprendre
que leur ignoble complot en Ukraine est sur le point de se briser contre un mur,
écrit-il.
Washington
tente, autant que possible, d’éviter une manœuvre dévastatrice pour établir le
contrôle de l’Ukraine, et dans des termes plus larges, de la Russie, grâce à la
croissance de sa présence militaire, souligne Cunningham.
Toutefois,
comme indiqué dans l’article, la Maison-Blanche, pour des raisons politiques,
ne peut pas croître ouvertement sa présence militaire en Ukraine. Par
conséquent, Washington doit être prudent et éviter les révélations d’informations
selon lesquelles eux et d’autres membres de l’OTAN sont impliqués depuis longtemps
dans le conflit militaire ukrainien, dit l’auteur.
En
conséquence, conclut Cunningham, Washington tente de dépeindre la situation selon
laquelle il protège soi-disant les autorités locales de Kiev qui cherchent le
rapprochement avec l’Union Européenne.
Mais
la vérité est que l’OTAN, dirigée par les USA, s’est embourbée dans le conflit
en Ukraine qu’ils ont déclenché eux-mêmes et qu’ils ont pratiquement perdu,
conclut l’auteur.
Selon
certaines informations, parmi les troupes des bourreaux encerclés à Debaltsevo,
environ 25 % des effectifs (environ 2 200 personnes) sont constitués
par des militaires de l’OTAN et des mercenaires étrangers. C’est justement ce
qui détermine l’activité diplomatique sans précédent des dirigeants occidentaux
et la visite à Moscou hier des dirigeants de France et d’Allemagne. Nous
pouvons supposer que parmi les troupes de l’OTAN sont :
1.
Des militaires de forces OS (Forces d’opérations spéciales) des États-Unis
2.
Des militaires des troupes aéroportées de Grande-Bretagne
3.
Des militaires de la Légion étrangère française
4.
Des militaires polonais
5.
Des militaires israéliens
6.
Des militaires croates
7.
Le reste – des mercenaires étrangers de plusieurs pays.
Apparemment,
il n’y avait pas d’Allemands – seulement, on a forcé Merkel à se déplacer pour
couvrir l’opération de sauvetage des militaires de l’OTAN. Hier, environ 700 militaires
de l’OTAN déguisés en civils ont été évacués par les bourreaux de la junte du
chaudron....
La
seule question est, quelles concessions a dû faire l’Occident en échange du
salut de la mort de 700 personnes.
Source : novorossia.su : Об иностранных наемниках НАТО в Дебальцевском котле или О чем промолчали Меркель и Олланд
A-t-on évacué des mercenaires de l’OTAN du chaudron de Debaltsevo ?
russkiy-malchik
08.02.2015
Selon certaines informations, parmi
les troupes des bourreaux encerclés à Debaltsevo, environ 25 % des
effectifs (environ 2 200 personnes) sont constitués par des
militaires de l’OTAN et des mercenaires étrangers. C’est justement ce qui
détermine l’activité diplomatique sans précédent des dirigeants occidentaux et
la visite à Moscou hier des dirigeants de France et d’Allemagne. Nous pouvons
supposer que parmi les troupes de l’OTAN sont :
1.
Des militaires de forces OS (Forces d’opérations spéciales) des États-Unis
2.
Des militaires des troupes aéroportées de Grande-Bretagne
3.
Des militaires de la Légion étrangère française
4.
Des militaires polonais
5.
Des militaires israéliens
6.
Des militaires croates
7.
Le reste – des mercenaires étrangers de plusieurs pays.
Apparemment,
il n’y avait pas d’Allemands – seulement, on a forcé Merkel à se déplacer pour
couvrir l’opération de sauvetage des militaires de l’OTAN. Hier, environ 700 militaires
de l’OTAN déguisés en civils ont été évacués par les bourreaux de la junte du
chaudron....
La
seule question est, quelles concessions a dû faire l’Occident en échange du
salut de la mort de 700 personnes.
***
Bien que ça sonne comme
une conspiration, cela pourrait être bien vrai. En analysant comment tous nos "partenaires"
– à Kiev et à
l’Occident – se sont fortement
raidis après le chaudron
de Debaltsevo, comment les USA soudain ont commencé à
parler ouvertement de l’armement des bourreaux (et vraiment, si tout est découvert à quoi bon faire des
secrets ?) Et comment Kerry a donné à Kiev
un milliard en se rappelant un certain "courrier
secret" de Poutine à Merkel,
dans lequel il y avait une proposition en
échange d’un ultimatum, et comment tous se sont subitement précipités à Kiev, puis à Moscou. Nous
pouvons supposer que nos combattants, ayant des données sur la présence de mercenaires de l’OTAN à Debaltsevo, ont réalisé une brillante opération d'encerclement, et après quoi ils ont
posé leurs conditions.
Et je ne voudrais pas tirer des conclusions
hâtives que, pendant la réunion de cinq heures à Moscou, Poutine,
avec Merkel et Hollande, n’a trouvé aucun accord. Leur rhétorique
a sérieusement changé, et même le New York Times a dû constater que l’Europe et l’Amérique
voient différemment le confit militaire en Ukraine : la première ne veut pas
se battre et déjà ouvertement ne
se soumet pas à la demande de
Washington de fournir un soutien militaire direct
non dissimulé au régime de Kiev. En
outre, Hollande a même parlé de
la nécessité d’octroyer une autonomie au Donbass.
Et bien, en ce qui concerne les mercenaires,
qu’ils les sortent. Il sera toujours le temps de les enterrer dans les champs russes
infinis.
RM
http://cont.ws/post/74685/Traduction : GalCha
J‘espère qu'il reste encore de quoi faire de nombreux panneaux " déchets chirurgicaux" en ukraine. Sinon, ça va devenir coton de cacher toutes ces charognes otanesques.
RépondreSupprimerEt d'bord, ont-ils pris leurs prores sacs-à-viande avec eux?
Les Nouveaux-Russes veulent bien sortir les ordures européennes, mais il ne faut pas, en plus, leur demander de fournir le petit matériel.
De toutes façons, il va falloir analyser les causes de l'énorme explosion de Donetzk; et si ça vient des positions du chaudron de Debaltsevo, alors, si j'étais M. Zakarshenko, je dirais: "pas de prisonniers!".
Quoiqu'il en soit, les heures de la junte et de leurs alliés sont comptées.
Tic-tac, tic-tac, tic-tac...
Les cordes sont déjà tressées bien solides!
Tic-tac, tic-tac, tic-tac... chocoshenko... tic-tac... klitshko... tic-tac... yatz... tic-tac... tianibok... tic-tac, tic-tac... etc... l'heure approche!
Ils ne serviront même pas d'engrais pour enrichir les plaines du Donbass, même les vers de terre ne voudront pas de cette vermine empoisonnée.
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