Comme alternative aux femmes fascistes-tireurs d’élite de Kiev
30.06.2014
Pendant que les hommes s’évadent du
Donbass en Russie, qu’un grand nombre de représentants de sexe fort sont assis
à la maison devant les télés et les ordinateurs, les belles dames ont rejoint
les rangs des combattants. Dans le bataillon "Rus" une unité
distincte composée seulement des femmes a été créée, les hommes de la milice
populaire les appellent « sœurettes ».
Les conditions sévères ne troublent
pas les filles, en général, elles ont tout le nécessaire pour une vie normale.
Pendant le temps libre, elles aménagent leur quotidien et n’oublient pas
qu’elles représentent toujours le beau
sexe, heureusement qu’elles ont à leur disposition tout ce dont elles ont
besoin. Les filles se sont volontairement présentées sous les drapeaux, elles ont
pour objectif de redonner la paix à leurs enfants et à leurs familles dont
certains les attendent à la maison. La vie quotidienne des femmes-soldats se
passent selon les horaires interarmes: réveil, entrainements, tirs - pas de
traitement de faveur. Il est agréable de prendre conscience que ces créatures
fragiles dans les moments difficiles ne quitteront pas le navire comme des "rats
glamour", mais sont prêtes à vous aider dans cette affaire difficile – de
libérer les terres natales des occupants nazis.
On sait que quelques personnes ont
quitté les rangs de la milice populaire en invoquant des problèmes familiaux.
Dans ce contexte, les vaillantes protectrices de la patrie ont l'air incroyablement
viril, contrairement aux déserteurs, qui peuvent être difficilement appelés « hommes ».
Les filles sont déterminées à repousser l'armée ukrainienne et à protéger leurs
terres, bien que l’expérience du combat leur manque, car jusque-là elles n’ont
jamais eu d’armes en main. Toutefois, il convient de noter que dès le début de
l'opposition, les milices populaires concédaient aux fascistes en tout, sauf en
combativité et donc l’intention et la volonté sont chères!
Alors que les hommes sont assis à la
maison et discutent des difficultés et des dangers de la guerre, les femmes se
mettent au port des armes, allons donc, les filles! En outre, il est connu que
les Ukro-militaires utilisent des unités constituées de femmes, pour la plupart
des tireurs d’élite. Voyons donc les " sœurettes" de qui tirent mieux!
Sergei Lizhine
Agence centrale d’information de
Nouvelle Russie
Traduction : GalCha
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