Une analyse alternative intéressante : résumé de plusieurs publications de "VeteransToday"
ensuite
2 articles concernant les "cadavres" du MH17
Le Boeing abattu près de Donetsk – mystification des autorités fascistes américaines
29.07.2014
Alors que la transcription des enregistreurs de vol du
« Boeing » abattu au-dessus de Donetsk est en cours, les experts du
monde entier continuent d'exprimer leurs propres versions de ce qui s'est
passé. Le site des vétérans américains de l'armée et de l'intelligence « VeteransToday » a publié une
série d'articles, dont le fondamental est qu’en Ukraine s’est crashé un autre « Boeing »
malaisien disparu en mars dernier, et cette opération – « Fausse bannière
(false flag) », est apparentée aux attentats
du 11 septembre 2001. L’édition Nakanouné.RU (Накануне.RU) a contacté l’auteur des articles, Harold Saive qui a
expliqué sa position et a fait une analogie avec plusieurs autres événements retentissants
aux États-Unis dans lesquels les services secrets américains ont été impliqués.
Le site
« VeteransToday »
a relevé des incohérences dans l’histoire
du crash du Boeing près de
Donetsk. En particulier, la publication suggère que l’avion utilisé dans la catastrophe était
l’avion disparu en mars dernier.
Ainsi, le « VeteransToday » note que, selon le site de suivi des avions en
temps réels FlightRadar-24, le vol de Kuala Lumpur a été annulé
avant « le coup au but du missile ». L’annulation du vol pourrait permettre de remplacer l'avion — à la place de l’avion
non parti pourrait s’écraser le faux avion. En outre, les
auteurs estiment que les passagers, en effet, pourraient être morts, et
que l'avion a été guidé par la
technologie des drones.
(Sur FlightRadar, on peut voir qu’il y a plusieurs avions qui sont passés ce jour-là au-dessus de la région de Donetsk, pourquoi alors est-ce précisément le vol de la Malaysia Airlines qui est abattu, seulement la fatalité ? – BenDeko)
En particulier, les « VeteransToday »
attirent l’attention sur le numéro parfaitement conservé
sur la queue de l'avion écrasé — « MRD ». « La
queue est tombée de manière parfaite
pour prendre des photos, comme intentionnellement pour
que les observateurs puissent voir que c’est précisément le MRD et qu’il ne faut pas le confondre avec le
MRO, disparu en mars »
— note le journal.
En outre, les vétérans prêtent attention à
la propreté des bagages éparpillés sur
le terrain d’aviation. Ils
n'ont pas brûlé, ne sont pas sales ni maculés de
sang.
Une fenêtre du « Boeing » disparu en mars
(9M-MRO – NDT) sur les photographies
d'archives est soudée avec une plaque
de métal, tandis que sur le 9M-MRD
elle était ouverte. Sur l'avion qui
s'est écrasé près de Donetsk, la fenêtre est soudée.
9M-MRO, vol MH370, la fenêtre devant l'aile, à droite de la porte, est obturée par un panneau soudé |
9M-MRD, vol MH17, la fenêtre devant l'aile est pourvue d'un vitrage |
Le chroniqueur du « VeteransToday » Stew Webb estime qu'il y a environ
3 mois l’avion MH-370 a atterri à
Diego Garcia –
une des plus grandes bases militaires
américaines dans l'océan Indien, et
ensuite il a été emmené en Ukraine, où il avait été
prévu de l'utiliser dans l'opération sous la « fausse
bannière » comme prétexte pour le début de la guerre.
L’information de Stew Webb,
parallèlement aux preuves photographiques, prend un sens dans
le cadre des rapports présentés
sur les corps congelés et les corps ayant des signes de décomposition (voir les articles en fin – BenDeko). L’avion devait être rempli de corps, afin que
tout semble convaincant et authentique.
Nakanouné.RU a
réussi à se mettre en contact avec l'auteur des articles, Harold Saive,
le vétéran de l’armée de l’air des USA qui
a participé à des opérations militaires au Vietnam. Selon lui, s’il
s’agit d’une substitution d’avion et de listes de passagers, à l’ère des données
électroniques, une telle substitution
est assez facile à réaliser.
« Au moyen de chantage, de pots-de-vin et de menaces physiques, les banquiers-fascistes du monde entier peuvent remplacer ou effacer pratiquement toute information qui est transmise en format numérique. L’expérience du crash des avions le 11 septembre à New York démontre très clairement la possibilité de manipulation de listes de passagers et de montage vidéo. La clé de la réussite de ces opérations noires consiste à un contrôle des médias par les fascistes, de sorte que ces questions ne soient jamais posées » — explique Saive.
À titre d'exemple, il mentionne l'histoire
des multiples manipulations des faits lors des attentats du 11 septembre 2001.
« L’écrivain David Ray Griffin a écrit 10 livres sur les évènements du 11 septembre, mais aucun de ses livres ne s’est basé sur les informations des médias ou les données de sources gouvernementales. Les chercheurs de sources publiques, comme Griffin et d'autres ont démêlé ces manipulations, mais le ministère fasciste de la Justice des États-Unis n'examinera jamais leurs trouvailles » — a déclaré le vétéran.
En ce qui concerne la commande à
distance de l'avion, selon Saive,
les technologies de commande de vol électrique sont utilisées depuis 15 ans déjà.
« Oui, les technologies des drones pourraient facilement être utilisées pour contrôler l'avion de ligne. Le « Boeing-777 » est équipé d'un système d’interception de commande. Il semble que tout avion qui s'écarterait de sa route puisse être contrôlé au moyen de la technologie des drones par un pilote qui est assis devant un ordinateur sur terre » — a-t-il dit.
En général, Harold Saive est
convaincu que l'ensemble de l'opération du « Boeing » a été conçu comme une opération spéciale
des services américains de renseignement
et est devenue une opération sous « fausse bannière »
— ce terme désigne des opérations secrètes menées dans but de convaincre le public
qu'elles sont effectuées par d'autres organisations ou d'autres États.
Ainsi, les opérations sous fausse
bannière sont menées pendant la
guerre.
« Rappelez-vous que les exercices militaires en Ukraine — Rapid Trident 2014 — ont eu lieu au moment de la tragédie du vol MH17. Une grande partie de ce qui est rapporté dans les médias est devenu une sorte de « syndrome de régurgitation » de ce qui avait été prévu par l’OTAN des mois à l'avance pour les jeux militaires en Ukraine de juillet 2014 dont la plupart sont des « fantaisies pour rire », comprenant des opinions bizarres divulguées dans le seul but de polariser l'opinion publique contre Poutine » — attire l'attention l'expert.
Notons que les exercices « Rapid Trident » sont
organisés en Ukraine chaque année
depuis 2006. Officiellement, ce sont les exercices américano-ukrainiens, mais en fait, les soldats de plus de 10 pays y participent. En particulier,
dans les exercices qui auraient dû avoir lieu dans la deuxième moitié du mois de juillet 2014, ceux qui avaient l’intention de participer sont les
unités de Bulgarie, du Danemark, de
Grande-Bretagne, d’Allemagne, de Grèce,
d’Espagne, du Canada, de Lettonie,
de Pologne, de Roumanie, des États-Unis, de Turquie, de République tchèque, d’Arménie,
d’Azerbaïdjan, de Géorgie, de Moldavie
et d'Ukraine. Le terme de l’exercice
a été reporté « en
raison des événements dans le Sud-Est, »
cependant il a été planifié plusieurs mois à l’avance — la première réunion
a eu lieu encore en janvier, avant
le coup d'État à Kiev, qui a été le point de
départ de l’actuelle bacchanale criminelle et militaire.
« Les pilotes — superviseurs qui auraient soi-disant mené le MH-17 vers le Nord à travers la bande de feu hostile, pouvaient facilement agir selon le « scénario » des exercices militaires avec l'Ukraine, tandis que le MH-17 était sous le contrôle effectif du pilote du drone, n'ayant rien en commun avec la tour de contrôle. Mais nous n'avons pas de preuves crédibles que le MH-17 a réellement existé ou a été abattu. Tout cela est une grande illusion » — suggère l’Américain, en soulignant que « Poutine et ses riches partisans savent très bien que le MH-17 est un canular ».
Harold Saive est convaincu que
l'opération de l’avion abattu –
loin d’être la première et unique opération des services secrets
avec des civils tués et, en particulier, avec
un grand nombre de victimes parmi les enfants. À titre d'exemple, il cite le massacre de l’école primaire à Sandy Hook
en décembre 2012.
« En 2012, dans l'état américain du Connecticut a été menée une opération dans le cadre de la " fausse bannière ", connue sous le nom « Sandy Hook » lors duquel un homme armé a tué des écoliers. Mais en réalité, l'incident était une mystification complète quand la prédéfinition des événements a été prouvée. Beaucoup de chercheurs ont constaté que les sites Web pour recueillir des fonds pour les enfants qui sont morts ont été créés quelques jours avant le massacre présumé. En outre, les fonctionnaires ont refusé de présenter les certificats de décès des enfants décédés, qui ont ensuite été vus dans les lieux publics pendant des matchs de football américain » — souligne l'expert.
« Une autre preuve a surgi très récemment quand on a découvert le « scénario » des exercices de la catastrophe prévue au moment du massacre de Sandy Hook. Cette fausse bannière était une manipulation de l'opinion publique dans le but de confisquer les armes à feu chez les propriétaires d'armes américains," — ajoute Saive.
Rappelons que lors des événements à Sandy Hook, selon la
version officielle, un homme âgé de 20 ans, souffrant de troubles mentaux, armé d'un fusil « XM15-E2S » de fabrication « Bushmaster »,
d’un pistolet de 10 mm « Glock
20 SF », d’un pistolet de 9 mm « SIG Sauer P226 », d’un pistolet « Izhmash
Saiga-12 », a tué sa mère, 20 enfants de
l'école âgés de 6-7 ans et
six adultes, y compris le directeur, puis il s'est tué d’une balle.
Cependant, de nombreux journalistes et
experts menant leurs propres enquêtes ont souligné que, dans cette affaire, il a un tas de contradictions, et ont accusé de l'organisation de l’attentat terroriste les services secrets de certains pays, y
compris d’Israël. Ceci, en particulier, a été écrit par les auteurs de « VeteransToday ».
« Cela n’a aucune importance combien de « preuves » existent. Les fascistes contrôlent les médias et les messages. Ils trompent avec succès la plupart des gens la plupart du temps, alors que certains d'entre nous continuent à déterrer les faits pour informer les innocents et se réveiller » — résume Harold Saive.
Les experts de
l'aviation russe,
à leur tour, étaient sceptiques quant aux arguments des vétérans américains.
« L’avion disparu dispose de l'équipement, des documents — technique, procédurale, etc. Dans ce cas particulier, il y a trop de preuves que cet avion était suivi tout le temps par la surveillance radar, ne disparaissait nulle part et ne pouvait pas, comme le « Hollandais Volant », apparaître en Hollande et puis soudainement apparaître au-dessus de Kiev – c’est une absurdité complète. Donc, ici, il est nécessaire de réfléchir pourquoi tout cela s’est fait. Je pense que les Américains glissent simplement des informations idiotes pour brouiller leurs pistes, car il y a une opinion que cet avion (le « Boeing » disparu en mars) se trouve à Guam (île de l'archipel des îles Mariannes, où se trouvent de grandes bases navales et aériennes des États unis, note de Nakanouné.RU). Bref, cela ne vaut même pas la peine d’être commenté » — a commenté à Nakanouné.RU, le vice-président de l'Académie des problèmes géopolitiques, colonel de l’Armée de l’Air, Vladimir Anokhin.
Le fait que la version
du remplacement de l’avion semble tirée par les cheveux est également
consenti par l’expert de l'aviation indépendant, ancien vice-ministre de l'aviation civile, pilote émérite de l'URSS, Oleg Smirnov.
Cependant, à son avis, l'histoire de la commande à distance est très probable.
« C'est une question très intéressante, que nous, professionnels, avons soulevée au cours de la dernière décennie, alors que le gouvernement encourage le développement de la construction aéronautique civile nationale. Aujourd'hui, nous avons 95 % de la flotte qui sont de construction étrangère. Alors, où est-elle la sécurité nationale ? Maintenant, à l’époque des progrès de la technologie informatique, il suffit de greffer dans l’avion une puce, qui est tellement petite qu'elle ne sera pas visible même au microscope, et au moment voulu (on peut) donner un ordre par satellite, et cette puce fera tout ce pour quoi elle est programmée. Et on peut y programmer que l’aile se détache, que les moteurs s’arrêtent en vol, peut-être un problème énergétique ou la défaillance de n'importe quel appareil, tout peut arriver. C’est ce que j'appelle une catastrophe contrôlée » — explique l'expert à Nakanouné.RU.
Selon lui, un tel accident contrôlé pourrait
causer aussi la disparition similaire de l’avion de « Malaisie Airlines. »
« Ici, il y a tellement de tergiversations de la part de l'Amérique, tellement d’absurdités qu’ils répètent à la suite des dirigeants ukrainiens et du président, ils répètent ces stupidités intentionnellement. Ne cachent-ils pas derrière tout cela, le désir de cacher ces choses-là qui ne sont pas rendues publiques ? Et la télécommande est tout à fait possible, il n'y a aucun problème. Les programmeurs d’aujourd’hui le feraient très facilement à condition que l’avion ait un ordinateur de bord, et tout avion moderne en est muni et même de plus d’un » — estime Smirnov.
Sergey Tabarintsev-Romanov
Traduction : GalCha
Igor Strelkov : une partie des gens de Boeing étaient morts quelques jours avant la catastrophe
18.07.2014
Igor Strelkov a répondu aux questions sur la chute du Boeing malaisien.
Il existe une version selon que l'avion
de ligne a été abattu par un Su-27.
« Il y a de
telles informations. Mais je ne comprends pas bien encore la
situation dans son ensemble. Par
conséquent, je ne me suis pas exprimé à propos de cette
version (comme d’ailleurs pour toutes les autres) ».
« Selon les personnes qui ont recueilli les corps, la plupart
des cadavres sont « pourris » —
les personnes sont mortes et ça date de
quelques jours. Je ne me porte pas garant pour
l’exactitude de cette information — bien sûr, il faut la
conclusion d’experts légistes ».
- Quelqu'un devait piloter un tel avion,
y compris que cela devait être impossible
de le quitter. La version avec un
avion plein de cadavres
est troublante, bien sûr, mais elle n’a
aucun sens.
« Tout d'abord, tous les gens dans l’avion n’étaient pas morts avant la chute, tant s'en
faut.
« Deuxièmement, une grande quantité de médicaments, de sérum de sang et d'autres choses, ce qui n'est pas caractéristique pour un avion de ligne ordinaire ont été
découverts. Il semble qu'il y eu
lieu une cargaison médicale spéciale.
« Troisièmement, je n’insiste pas sur
quoi que ce soit (pour l’instant).
Littéralement, je viens de discuter avec deux personnes qui réunissaient
personnellement les corps immédiatement
après la chute (les deux sont de Chakhtersk et
sont arrivés sur les lieux moins d'une demi-heure après l'accident). J’écris d’après leurs
paroles. Ils ont souligné que de
nombreux cadavres étaient « complètement exsangues » — comme si le sang s’était
coagulé bien avant la catastrophe.
Ils ont également noté une odeur cadavérique
putride, ce qui a également été remarqué par de nombreux habitants – une telle odeur, par n’importe
quel temps, n’aurait pas pu apparaître en une demi-heure,
et hier le temps
était couvert, et pas trop chaud. »
« Quatrièmement, moi-même je suis très méfiant à toutes
les « théories du complot », mais les 18
de nos soldats empoisonnés par la
chimie (arme chimique, NDT) sur les
positions dans Semenovka, l'exécution
des membres des familles des combattants
et d’autres « petits plaisirs des
patriotes engagés » m'ont convaincu que les autorités ukrainiennes sont capables de toute bassesse.
Les pilotes, évidemment, étaient bien vivants – tout le
cockpit (et l'extrémité avant est bien conservée) a été littéralement couvert de leur sang ».
Source : rusvesna.su-news : Игорь Стрелков: часть людей из Боинга умерли за несколько суток до катастрофы
Traduction : GalCha
Cadavres à bord du Boeing venant d’Amsterdam
20/07/2014
Étant donné
que le Boeing 777 venant d’Amsterdam à destination de Kuala Lumpur a été rempli
avec des cadavres avant le départ, cette opération devait être préparée non
seulement par les États-Unis et l'Ukraine, mais aussi avec l’implication des
Pays-Bas et de la Malaisie. Parce que pour cela, il était nécessaire de
recueillir des morts dans toute la Hollande et même en emprunter à d'autres
pays. Dans le même temps, il fallait encore les munir de faux passeports.
Ce fait
se confirme par le fait que pour le moment il n’y a pas eu de déclarations des
proches des victimes et les actions d'urgence pour les amener sur le site de
l'accident afin qu’ils puissent identifier les corps et voir eux-mêmes le lieu
du crash ne sont pas menées. Et en fait, c’est ce qui se fait en premier lieu
lors des accidents vrais, et pas truqués. Donc, les « victimes »
n’ont pas de parents, et leurs passeports sont faux.
Dans cet
esprit, il serait bon que les services secrets russes fassent une enquête
indépendante pour déterminer l'identité des victimes et la recherche de leurs
parents. Si ceux-ci ne sont pas découverts, les faits de faux passeports des
victimes seront prouvés. Et puis, il sera possible de dire exactement qui en
fait a organisé et exécuté cette provocation monstrueuse.
Détective
Agence
centrale d’information de Novorossia
Novorus.info
Traduction : GalCha
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