En Russie, on a nommé les assassins du Boeing malaisien
07.12.2014
En Russie, on
a désigné le pilote militaire ukrainien qui a abattu le "Boeing" malaisien
au-dessus du Donbass. Les exécutants directs de l’opération étaient le pilote
de l’avion d’assaut "Su-25" le lieutenant-colonel Dmitri Yakapouts et le contrôleur du trafic aérien de
Dniepropetrovsk, qui menait le "Boeing", Anna Petrenko.
Le journaliste russe très connu Andrey Karaoulov a récemment présenté le film "Comment a été détruit le Boeing" – une enquête sur le crash de l’avion malaisien dans les environs de Donetsk.
Selon la version de l’auteur, assez convaincante, l’avion civil a été abattu à
la suite de l’attaque de l’avion d’assaut des Forces aériennes de l’Ukraine. Premièrement,
le pilote de l’avion d’assaut a tiré sur le cockpit avec son canon, et l’avion
a encore volé pendant un temps très court sur pilote automatique, puis il a été
frappé par un tir de missile. Le "Su-25" observait la chute du "Boeing",
en volant à proximité.
La principale conclusion du film-enquête est que
la destruction du "Boeing" civil était le résultat d’un complot organisé
par le gouverneur de Dniepropetrovsk Kolomoïsky dans le seul but – de tuer Poutine,
plus précisément, d’abattre l’avion russe №1, sur lequel notre président revenait
de l’Amérique latine. Et selon les informations dont possédait Kolomoïsky, l’avion
aurait dû passer justement à cette heure et par cet itinéraire afin faire une
escale à Rostov-sur-le-Don. Personne n’a eu le temps de prévenir Kolomoïsky que
l’avion de Poutine avait changé d’itinéraire, c’est pourquoi le pilote a tiré
sur l’avion de ligne, étant pleinement confiant comme celui qui effectue la
tâche fixée. D’autant plus que la silhouette et la couleur du Boeing malaisien
et de l’avion russe №1 sont très semblables.
Dans cette tragédie, près de 300 personnes ont
péri.
Le film nomme les participants-exécutants
directs de ce plan diabolique – le pilote de l’avion d’attaque, le
lieutenant-colonel Dmitri Yakapouts et le contrôleur du trafic aérien, qui menait
le "Boeing" de Dniepropetrovsk, Anna Petrenko. Par ailleurs, à en
juger par la page du réseau social, elle est une groupie du "Pravy Sektor"
et du gouverneur de Dniepropetrovsk, l’oligarque Kolomoïsky. Les deux – aussi
bien le pilote de l’avion d’attaque que la fille-contrôleur – le lendemain de la
tragédie sont soudainement partis en vacances et ce sont envolés pour un très long
séjour, qui dure encore jusqu’à ce jour, à Dubaï. Le lieutenant-colonel était au
service de l’escadrille d’élite 299e qui avait quatre avions d’assaut "Su-25"
portant les numéros 06, 07, 08 et 38. Arseny Iatseniouk était venu visiter
cette escadrille, et en ce qui concerne Kolomoïsky, il fois été vu à maintes reprises
dans l’organisation de cette escadrille d’avion et il a presque pris à sa
charge son entretien.
Le film fournit des réponses à de nombreuses questions,
semble-t-il embarrassantes, qui pourraient mettre en doute cette version. Par
exemple, que le plafond pratique du "Su-25" est presque deux fois
inférieur à la hauteur à laquelle volait l’avion civil. Comme l’avait confirmé en
toute connaissance de cause l’ancien commandant des forces aériennes Peter Deinekine,
techniquement il n’y a aucun obstacle pour travailler à une altitude plus importante,
il est seulement nécessaire de rendre le cockpit étanche et de fournir au
pilote de l’oxygène.
Même si l’on veut formuler des doutes quant à certains faits cités dans le film, aucun démenti de la part d’une quelconque partie de l’Ukraine n’a été présenté à ce jour.
Michael Shtamm.
Source : "Krimskaya Pravda"
Agence centrale d’information de Novorussie
Novorus.info
Le film du journaliste Andrey Karaouolov
Traduction : GalCha
Cette histoire paraît incroyable.
RépondreSupprimerMalheureusement la vidéo est en russe et sans sous-titre. Elle mériterait d'être traduite et diffusée sur les réseau sociaux (dans toute les langues parlées en Europe).