Staline – le génie de la guerre d’information
22-12-2014
Un peu d'Histoire. Alors que l'on apprend aujourd'hui, que chaque fois que l'Occident a nommé "dictateur" le dirigeant d'un pays qui ne se soumet pas à leur "diktat", alors il convient de gratter un peu plus en profondeur ceux qui furent ainsi traité.
Cependant, on diabolise Poutine et il est soutenu par son peuple... Si vous appréciez les actions de Poutine - apparemment vous vous réinformez - attachez-vous à lire une autre version de l'Histoire... Cette fois écrite par la Russie. Staline, à son époque, a pris le contre-pied de sa "5e colonne soutenue par l'Occident" peu enclin à voir le développement de la puissance économique et politique de la Russie.
Staline était considéré comme le "père du peuple" par toute la population de l'Union Soviétique.
Nous allons développer un autre point de vue que celui habituellement reconnu par les livres en Occident et réécrit par les USA.
(BenDeko)
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LA VÉRITÉ
SUR STALINE
Le jour du 135e anniversaire
(21.12.1879, NDT) d’I. V. Staline, nous publions des documents de sources web sur les
mesures prises par le Gouvernement
soviétique et Staline personnellement
dans les années 30 du 20e siècle et à la veille de la Grande Guerre patriotique, pour apprendre au peuple ouvrier des pays
occidentaux la situation réelle en
URSS.
Nous proposons aux visiteurs du site de comparer les informations contenues dans cet article à la situation actuelle et les mesures prises par les dirigeants russes afin de présenter des informations véridiques sur la vie en Russie à l’étranger.
Staline – le génie de la guerre d’information
Les archives du KGB témoignent que la guerre totale d’information avec l’Union soviétique a commencé en 1943. Par exemple, depuis 1943, l’Occident a organisé des départements spéciaux d’information pour changer la conscience de nos citoyens.
Par ailleurs, des
sociétés secrètes, celles qui ont construit la civilisation occidentale, ont mené une telle guerre contre
la Russie pendant toute son histoire. Staline savait parfaitement ce qui se tramait à l’Occident et ce qui
occupait les sociétés secrètes. Il connaissait
également un autre détail de poids : l’attaque est la meilleure défense. Par
conséquent, immédiatement après son
arrivée au pouvoir en 1924, Staline
crée, sur base des
services secrets soviétiques, son
service d’information pour faire face à la propagande occidentale. Et ce qui est très important, il le dirige personnellement.
Il est clair que Staline ne s’était
pas limité à une simple défense.
Très rapidement, le Service soviétique d’information visant
à neutraliser la propagande occidentale a déplacé ses
actions sur le territoire de l’ennemi.
Déjà à partir de 1926, tout l’Occident connaissait la vérité sur ce
qui se passait en Russie soviétique.
Partout, au
Royaume-Uni, en
Allemagne, en Amérique ont été publiés nos journaux et magazines soviétiques. Ils ne contenaient pas d’appels à
la révolution. Les publications
parlaient simplement des occupations du peuple ouvrier en Russie. C’est pourquoi personne, en Europe, n’interdisait ces journaux et magazines. Staline était
un excellent psychologue. Il comprenait
que l’information doit être donnée
discrètement, avec bienveillance, et sans
fautes, doit être véridique. L’information ne doit refléter que ce qui se passe réellement.
Quelle que soit la vérité : bonne
ou mauvaise. C’est pourquoi le
menu peuple et de l’Empire britannique et de l’Amérique croyait aux informations russes. La propagande bourgeoise avait beau essayer de présenter comme mensonge tout ce qui se passait
en Union soviétique, les petites
gens en Occident n’y croyaient pas. Les peuples des colonies y
faisaient encore moins confiance. Mais il ne faut pas
croire que la machine d’information soviétique utilisait en Occident seulement les
imprimés.
Il y avait aussi d’autres moyens. Staline a réussi à faire
travailler pour l’Union soviétique, même les radios
britannique et américaine. De quelle
manière ? Seulement avec les informations véridiques, qu’il était impossible de discréditer (Staline et
les membres du gouvernement soviétique donnaient constamment des interviews à
des journalistes étrangers – note
IAS). Ainsi, en critiquant l’Union
soviétique, les médias
bourgeois exprimaient ces grandes
transformations qui avaient lieu en Russie soviétique. Les gens ne prêtaient pas attention à la
propagande, derrière celle-ci ils voyaient la vérité de ce qui se passait. Lorsque le fascisme a
gagné en Allemagne, Hitler a tenté
le plus rapidement possible de supprimer l’accès de la "propagande soviétique" dans le futur Reich. Mais de
toute façon, jusqu’en 1941, en
dépit de la puissante presse
de la machine de désinformation de Goebbels, les Allemands ne voulaient pas voir dans les Russes leurs
ennemis.
Voilà ce que c’est,
une présentation habile
de l’information et le transfert
des opérations d’information militaires
sur le territoire ennemi. L’Occident se
souvient encore avec un frémissement l’époque où le
service d’information des services secrets soviétique
était dirigé par Iossif Vissarionovitch en personne. C’est précisément
à l’activité d’information de Iossif
Vissarionovitch que l’Occident attribue
l’effondrement de l’Empire britannique.
En particulier, la perte par
celui-ci d’un si savoureux morceau comme
l’Inde. Et les politologues
occidentaux avec les analystes ont raison : l’accord final de
l’opposition informatique entre l’Occident et l’Union Soviétique était notre victoire dans
la Grande Guerre patriotique. Le
monde entier a vu de ses propres yeux
quel type de société est plus progressif : occidentale ou soviétique. Où les gens ont plus de liberté, et sont les véritables maîtres de leurs terres.
Parce que seules les personnes libres sont capables d’héroïsme
dans la guerre pour La Patrie. C’est pourquoi la victoire de l’Empire britannique dans la Première Guerre mondiale, au
contraire, a accéléré son effondrement.
Ce qui, selon toutes les lois du processus historique, cependant, ne peut pas arriver. Généralement,
les empires se désagrègent suite à leurs défaites. Mais ce qui s’est passé, du point de vue de la géopolitique moderne "classique", est
incroyable (« les Empires se désintègrent ! » – note IAS) : d’abord, en 1949 c’est
l’Inde qui "se
détache" de la Grande-Bretagne,
et puis d’autres demies-colonies se tracent
une voie d’éloignement de la
métropole. Avec beaucoup de difficultés, le Royaume-Uni est parvenu à contenir les forces centrifuges. Et selon les
considérations des Britanniques mêmes, grâce à l’activité de N. S. Khrouchtchev, qui en peu de temps a
réussi à discréditer complètement
le mouvement communiste aux yeux
de la communauté internationale.
Comment a-t-il pu le faire, nous l’expliquerons ci-dessous. Comment, en termes d’information, I. V. Staline a-t-il
réussi à déjouer la machine
unique bien éprouvée de la propagande de
l’Occident ? Tout a commencé avec un article de Iossif Staline sur la possibilité de la victoire du socialisme non pas à l’échelle mondiale, comme K. Marx le soutenait dans ses œuvres, mais dans un pays isolé (voir le tableau 1 et 2 – note IAS). L’article de Iossif Vissarionovitch était une réponse aux trotskystes,
à leur tentative de prouver que, si
la révolution mondiale a échoué, il faut, donc, passer en
Russie à la restauration des
relations capitalistes et au transfert de sa propriété aux vrais
maîtres de la planète. Mais cet article
a porté un coup non seulement aux appétits de l’aile trotskyste
du Parti communiste. Il était aussi un bon sédatif
pour l’Occident.
Désormais, l’Occident a cessé de
craindre la Russie soviétique comme le foyer de la révolution mondiale. Et depuis 1931, les relations de notre pays avec le camp capitaliste
se sont considérablement améliorées. Cela
a permis à nos journaux
soviétiques d’être publiés sans entrave dans l’Empire britannique et en Amérique.
Ici, c’est la loi du marché qui a fonctionné. La demande a engendré l’offre.
Nous avons déjà dit que, dans les publications soviétiques, il n’y avait aucune promotion,
aucune déclaration sur la nécessité de la révolution mondiale pour la Planète. Elles
détaillaient notre labeur quotidien
soviétique. Elles parlaient de nos projets d’avenir.
Et c’est tout. Mais du point de
vue de la psychologie – tout était organisé correctement. Les petites gens en Occident éprouvaient de
l’intérêt à ce qui se passait en
Union Soviétique, et envers les Russes – beaucoup de sympathie. En conséquence, l’influence de l’Union Soviétique, et en Europe, et en
Amérique a tellement grandi que
Iossif Vissarionovitch a pu, par l’intermédiaire
de ses hommes, atteindre le niveau de gestion de certains secteurs de l’industrie
occidentale.
Très vite, les nouvelles technologies venant
de l’Amérique, de la Grande-Bretagne, de l’Allemagne ont coulé en Russie soviétique.
L’Occident, contrairement à sa volonté,
a commencé à vendre à l’Union Soviétique des machines et des équipements modernes pour les usines, et même pendant
la guerre, sa technologie de pointe. Il semblerait que cela ne pouvait tout
simplement pas exister. L’Occident
a arrangé la guerre pour la
destruction de la Russie soviétique, mais, malgré lui, il a commencé à aider
l’Union Soviétique à écraser celui qu’il avait créé – l’Allemagne nazie.
À titre d’exemple, on peut citer le sort du meilleur chasseur américain de la Seconde Guerre mondiale P-39 "Airacobra". Cet avion était fabriqué en Amérique encore fin 1939. Entièrement métallique, relativement léger, le
P-39 avait une
vitesse enviable et ce qui est
très important – une capacité manœuvrière. L’armement de ce
chasseur était très
puissant : un canon de 37 mm,
deux mitrailleuses de gros calibre
et quatre mitrailleuses de calibre 7-62. (Sur
la photo ci-dessous : le chasseur P-39, la base de Hamilton,
Californie, juillet 1943.) Cependant, après
de nombreux tests le chasseur "P-39" n’a pas plu à l’armée américaine. La question est – pourquoi ? Cette question ne trouve pas de réponse même de nos jours. On ne peut que supposer
qu’il a plu à Iossif Vissarionovitch, ou plutôt pas tant à lui qu’aux spécialistes
soviétiques du domaine de l’aviation.
Aux États-Unis, il a été décidé de retirer de la
production le "mauvais"
chasseur.
Mais alors, c’est l’industrie de la défense soviétique
qui est intervenue. Et à la
demande de l’Union Soviétique, la
chaîne de production du chasseur P-39 à l’usine américaine de construction d’avions
n’a pas été arrêtée. En fait, à partir du mois d’août 1941, l’usine aéronautique américaine a commencé à
travailler pour l’Union Soviétique. En conséquence, sur les 9 500 "Airacobra"
fabriqués en Amérique, 6 300
ont été envoyés au front germano-soviétique. C’était très fort à propos, parce que l’industrie
de l’aviation soviétique en 1941-1942 commençait tout juste à prendre de l’élan pour fabriquer des chasseurs modernes nationaux.
La photo de pilotes soviétiques et américains sur le fond des premiers avions américains reçus par l’URSS en prêt-bail. |
Les pilotes de chasse du 16e régiment aérien de garde, Majors de garde A.I. Pokrichkine et D. B. Glinka. |
Et avec le soutien des
troupes anglo-saxonnes, elles devaient se regrouper et commencer une
nouvelle attaque contre notre
patrie. Iossif Vissarionovitch a
fait comprendre à l’Occident qu’il
est au courant de leur plan et que l’Union soviétique aura le temps de se préparer à une telle tournure des choses. En outre, il a laissé entendre que, ni en Angleterre ni en Amérique, les gens ordinaires ne comprendraient
leurs gouvernements. C’est pour
cette raison que le plan "Rankin" de l’Occident a échoué. Mais quand
les Américains ont eu entre leurs mains
une bombe atomique, Iossif Vissarionovitch a
compris que nous devons nous préparer
à une nouvelle guerre.
Cette fois-ci, avec l’utilisation de super-armes. Réalisant que
les Américains ont les moyens d’acheminement
de leur principal atout dans
la nouvelle guerre – des bombes atomiques, les puissants bombardiers stratégiques, en plus, volant à
haute altitude, il fallait opposer quelque chose à ces avions.
Et le généralissime l’a fait. Lesdits avions de la Réserve
stratégique du Haut Commandement : les "MIG-3"
soviétiques de hautes altitudes, les
"Spitfire" britanniques et, bien sûr, les "P-69 Kingcobra" américano-soviétiques qui dans cette cohorte des
chasseurs étaient les plus massifs
et les plus puissants.
Lorsqu’en 1946, au Conseil secret sur
le bombardement atomique de l’Union Soviétique, les stratèges américains discutaient du
plan d’attaque, ils ont dû penser à
leurs propres chasseurs de hautes altitudes. Et l’envie de bombarder
l’Union soviétique avec des bombes
atomiques est immédiatement passée.
Parce que les faucons occidentaux ont réalisé que leur fameux "B-17" et "B-19" seraient immédiatement abattus après avoir
traversé la frontière de l’Union Soviétique.
Ce n’est qu’un exemple du travail d’information dont l’administration
stalinienne menait avec l’Occident :
c’est un monde ! de forcer l’ennemi à donner son meilleur avion ! Puis, avec le même avion, protéger ses cieux. Ce qu’il y a, c’est que les
cas du "P-39" et du
"P-63" ne sont pas les seuls.
Anton Karamazov
Agence centrale d’information de Novorussie
Novorus.info
Traduction : GalCha
Votre apologie de Staline ne correspond aucunement à la vérité. Lisez des auteurs russes comme Krivitsky ancien agent de Staline et finalement assassiné par le Guépéou, ou Alexandre Soljénitsine pour vous ouvrir les yeux. Ce n'est pas parce que l'Empire Britannique et son allié Américain sont des maîtres en propagande, comme Goebbels, que Staline ne l'était pas. Savez-vous combien d'églises orthodoxes ont été détruites pendant l'époque soviétique : 90% ! grâce à la ligue des sans-dieu, qui avaient le plein soutien du politburo ! Combien de personnes sont mortes de faim, ont été déportées ? Non, arrêtez de vouloir réhabiliter ce tortionnaire !
RépondreSupprimerCependant, on diabolise Poutine et il est soutenu par son peuple... Si vous appréciez les actions de Poutine - apparemment vous vous réinformez - attachez-vous à lire une autre version de l'Histoire... Cette fois écrite par la Russie. Staline, à son époque, a pris le contre-pied de sa "5e colonne soutenue par l'Occident" peu enclin à voir le développement de la puissance économique et politique.
SupprimerStaline était considéré comme le "père du peuple" par toute la population de l'Union Soviétique.
Nous allons développer un autre point de vue que celui habituellement reconnu par les livres en Occident et réécrit par les USA.
Staline grand stratège?pour ceux qui veulent bien y croire(au fait combien de millions de morts sous son règne
RépondreSupprimerCependant, on diabolise Poutine et il est soutenu par son peuple... Si vous appréciez les actions de Poutine - apparemment vous vous réinformez - attachez-vous à lire une autre version de l'Histoire... Cette fois écrite par la Russie. Staline, à son époque, a pris le contre-pied de sa "5e colonne soutenue par l'Occident" peu enclin à voir le développement de la puissance économique et politique.
SupprimerStaline était considéré comme le "père du peuple" par toute la population de l'Union Soviétique.
Nous allons développer un autre point de vue que celui habituellement reconnu par les livres en Occident et réécrit par les USA.