jeudi 11 septembre 2014

Analyse - bioterreur - partie 3/3

Empire du BIOTERRORISME - partie 2/3



Ici, la partie 1/3
Ici, la partie 2/3

La destruction du Boeing : de nouvelles versions

Le "missile de Poutine", la "main de Moscou", "Poutine, tu as tué mon fils !" de tels titres ont émaillé les journaux et magazines de l’Occident après que dans le ciel de l’Ukraine le 17 juillet de cette année, a été abattu l’avion de ligne "Boeing" au départ des Pays-Bas à Melbourne. Cette hystérie a commencé immédiatement après le discours du président Obama, qui avait déclaré que c’était « un crime d’une envergure inconcevable » et avait accusé la Russie. Directement après, dans les mains des secrétaires de presse de la Maison-Blanche et du Département d’État apparaissent des photos floues, qui ont été transmises par la CIA et représentaient des "preuves irréfutables" que l’avion a été abattu par le missile russe "Bouk".


Cet événement a servi de prétexte à la mise en place de sanctions économiques sans précédent contre la Russie, à l’implication de l’Union européenne (avant la catastrophe, ils hésitaient s’il fallait soutenir ou non les États-Unis), à l’utilisation de presque tous les moyens de guerre interdits pour écraser la résistance en Novorussie (y compris les bombes au phosphore, les missiles balistiques, les ogives à fragmentation et autres.), à la réalisation des plans de l’alliance militaire antirusse avec la participation de l’Ukraine, de la Moldavie, de la Pologne, de la Géorgie et des pays baltes.

Seulement, un mois plus tard ont commencé à paraître des informations que les trous dans le cockpit et le fuselage prouvaient que l’avion avait été abattu dans l’air, le plus probablement par un avion de chasse des Forces de l’Air ukrainiennes. Cette version confirme le changement soudain de l’itinéraire du Boeing juste avant le crash. Cependant, c’était une chose déjà faite, tous les médias occidentaux ont immédiatement oublié cet avion, mais les sanctions et la guerre d’envergure contre le peuple russe dans l’est de l’Ukraine, non seulement ont été lancées, mais elles continuent à croître.

Tous les signes de "l’événement déclencheur" (trigger event) ou de "l’incident sous fausse bannière" (false flag incident) c’est ainsi que les maîtres des provocations de la CIA appellent les attentats qui sont appelés à tourner l’opinion publique dans la bonne direction pour les États-Unis, pour lancer une chaîne d’événements qui mèneront à la réalisation des objectifs de "l’empire". Cela a toujours été ainsi dans l’histoire des États-Unis l’explosion de leur propre cuirassé "Maine", qui est devenu le prétexte pour déclarer la guerre à l’Espagne en 1898 ; le naufrage planifié du paquebot "Lusitania" pour entrer au moment propice dans la Première Guerre mondiale ; la dissimulation délibérée d’informations à propos de l’attaque japonaise imminente sur la base américaine de Pearl Harbor en 1941 pour entrer dans la Seconde Guerre mondiale ; la provocation avec la destruction du contre-torpilleur américain "Maddox" dans le golfe du Tonkin pour commencer la guerre du Vietnam en 1964 ; l’explosion des tours-jumelles en 2001 pour lancer la "guerre contre le terrorisme" et se préparer à l’invasion de l’Irak et de l’Afghanistan.

Comme il arrive souvent dans de tels actes de terrorisme sont poursuivis non pas un, mais plusieurs objectifs. Dans ce cas, l’information d’un grand intérêt est qu’à bord du MH17 il y avait plus d’une centaine de microbiologistes, qui allaient au Congrès international sur le SIDA en Australie. Et parmi eux Joep Lange, un éminent virologue de l’Université d’Amsterdam.
« Une perte irréparable du plus grand prophète et génie dans les recherches sur le SIDA », « la mort tragique d’un grand expert de renommée mondiale dans le traitement de la maladie du siècle » c’est ce qui avait été écrit dans les nécrologies publiées dans les revues scientifiques

Et, en effet, le laboratoire de Lange était en tête de file dans les études sur le SIDA et son traitement, y compris l’utilisation combinée des médicaments de la thérapie antirétrovirale, et avait développé des méthodes de prévention de la transmission du virus de la mère à l’enfant. Depuis plusieurs années (2002-2004), il a dirigé l’organisation internationale pour la lutte contre le SIDA. Avec lui à bord il y avait ses collègues néerlandais Jacqueline van Tongeren, M. Adriana De Schutter, L. Van Mens et d’autres chercheurs. Il est possible qu’ils amenaient avec eux les résultats de plusieurs années de travail, et qui sait, peut-être même un remède tant attendu contre cette terrible maladie – en fait, c’est peu de temps avant la conférence que le personnel de Lange savait que son intervention devrait faire sensation dans le monde scientifique.

Dans le même Boeing (soi-disant, par une coïncidence malheureuse), il y avait aussi le représentant de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) Glenn Thomas, qui "était en faute" du fait de son interview sa langue lui a fourché à propos du rôle criminel de son organisation dans la propagationde l’épidémie d’Ebola en Afrique de l’Ouest.
En éliminant des chercheurs européens sur le SIDA, ainsi qu’un fonctionnaire honnête de l’OMS, de cette façon les Américains ont donné la leçon à tous ceux qui sincèrement cherchent à trouver un traitement contre le SIDA et Ebola : « Il ne faut pas traiter et prévenir ces maladies, elles nous sont très utiles pour éliminer la foisonnante racaille humaine. »

Ce n’est pas par hasard que dans une série d’articles on se rappelait qu’en 1998 un avion de Swissair s’était écrasé au-dessus de l’Atlantique, à bord duquel se trouvait l’un des chercheurs les plus brillants sur le SIDA Jonathan Mann et son épouse M.L Clements, elle aussi un virologue connue. Mann était en tête d’une structure de l’OMS affectée à lutter contre le SIDA, et, comme l’avaient écrit ses collègues, sa mort a porté un coup puissant sur tous les projets de l’organisation dans la lutte contre cette terrible maladie. Les causes de l’accident ne sont toujours pas élucidées à ce jour (aucun des experts sérieux ne croit à la version officielle que l’un des pilotes a fait tomber le mégot de la cigarette, ce qui a provoqué un incendie de l’intérieur de l’avion).

La Russie à la croisée des chemins

Les États-Unis utilisent contre nous (la Russie – NDT) un énorme arsenal d’armes biologiques : les OGM et les plantes et les organismes transgéniques (dont la plupart, selon le témoignage des experts occidentaux, provoquent la suppression du système immunitaire, le cancer, l’infertilité et les maladies du cerveau), chaque année, ils organisent des dizaines de nouvelles épidémies du virus de la grippe, de maladies d’animaux ("grippe porcine" et "grippe aviaire") et de plantes, propagent diverses maladies allergiques, vendent des médicaments et des vaccins dont les "effets secondaires" nous sont inconnus, des additifs alimentaires et ainsi de suite. Ils développent encore de nouveaux virus : "l’hantavirus" mortel, "le virus – tueur australien" se recombinant sur base de la variole, une nouvelle génération de maladies "non létales" (seulement avec "une atteinte totale"), les "biorégulateurs" capables de créer une dépression à grande échelle, de changer le rythme cardiaque, de provoquer l’insomnie. Il n’est pas exclu qu’on crée les "signets" biologiques – les virus latents, qui doivent s’activer après un certain temps.

Autour de la Russie ont été créés des biolaboratoires militaires américains : en Géorgie (d’où, selon les experts, en 2013 s’est propagée l’épidémie de la "grippe porcine"), au Kazakhstan, en Kirghizie, dans les États baltes. Les autorités américaines allouent d’énormes fonds aussi bien pour le développement des nouveaux virus, que pour la bioprotection (uniquement pour le programme "BioShield" ils dépensent annuellement plus de 6 milliards de dollars).

Chez nous, après l’effondrement de l’Union Soviétique pendant une longue période, presque aucune attention n’a été accordée à cet important aspect de la protection du pays. Les instituts et les centres (de recherche, NDT) se fermaient, les jeunes professionnels partaient pour l’Occident. Il ne reste plus que les enthousiastes et les chercheurs âgés qui travaillent pour un salaire de misère (18 000 roubles pour les chercheurs en chef, 27 000 – pour les professeurs et docteur en sciences).

Des bâtiments délabrés, de l’équipement désuet, et "l’étranglement" par les responsables libéraux. On en était arrivé à ce que, en 2000, le "Mossenergo" de Tchoubaïs pour "défaut de paiement" a essayé de couper l’électricité à l’Institut de virologie d’Ivanovsky. Non seulement cela aurait détruit une collection unique de micro-organismes, mais aussi une partie des échantillons de virus aurait pu s’échapper dans l’atmosphère ! À cette époque, c’est par miracle qu’ils ont réussi à se débattre avec les "managers efficaces". Et le dernier dans le temps était le coup infligé par la "réforme" de l’ASR (académie des sciences russe, NDT) en fait, sa liquidation et le transfert de la gestion aux mains du comptable "efficace" de Krasnoyarsk.

Personne n’a empêché la vraie chasse aux chercheurs par des agents de la CIA – chercheurs, patriotes qui étaient simplement éliminés sur le territoire de notre propre pays ! En janvier 2002, a été abattu à coups de battes de base-ball (pour savoir d’où vient l’ordre de liquidation !) et étranglé dans son propre immeuble à Moscou, le membre correspondant de l’ASR, directeur de l’Institut de psychologie A. Bruchlinsky, psychologue et biologiste, auteur d’ouvrages sur la reconnaissance des terroristes. Deux ans après sa mort, son adjoint, le professeur V. Droujinine, a été tué.

En novembre 2002, a été tué par balle le professeur B. Sviatsky l’expert en infections et maladies infantiles de l’Université nationale russe de recherches en médecine de Pirogov. Le membre correspondant de l’Académie russe des sciences médicales, le plus grand virologue et microbiologiste, expert en armes biologiques, L. Stratchounsky, a été abattu en 2005 par battes de base-ball dans sa chambre d’hôtel "Slavianka" à Moscou. En 2006, le généticien et biologiste, membre correspondant de l’ASR, L. Korotchkine a été tué.

Une perte énorme pour la microbiologie nationale a été la mort du chef de la chaire de microbiologie de l’Université nationale russe de recherches en médecine, le professeur V.Korchounov, l’un des plus grands virologues de renommée mondiale, l’expert reconnu en "contre-arme" biologique. En 2002, des "hooligans inconnus" ont abattu par battes de base-ball le chercheur âgé de 56 ans, quelques jours après la publication d’un article de journal qui disait que le chercheur était sur le point de la plus grande découverte un vaccin universel contre toutes les armes biologiques ! Suite à la mort de Korchounov, le travail dans cet important domaine de la science a été arrêté. Des centaines, si ce n’est pas des milliers de personnes en Russie se sont retrouvées condamnées à mort en raison de l’arrêt des recherches.

Les pages tragiques de l’histoire moderne nous persuadent que les États-Unis sont capables de toutes les actions les plus barbares et criminelles dans leur quête maniaque pour la domination du monde
Il est très révélateur que les pays qu’ils envahissent sous prétexte de la "défense des droits de l’homme", de "l’humanisme", de la "démocratie" deviennent non seulement le théâtre des guerres civiles les plus graves, mais aussi soient accompagnés des épidémies de diverses nouvelles maladies, inconnues jusque-là

D’énormes masses de personnes au Vietnam, en Yougoslavie et en Irak ont été exposées à des substances mutagènes qui ont conduit à des conséquences désastreuses. Des difformités terribles chez les nourrissons, la création de toute une génération de dégénérés, des changements irréversibles au niveau génétique, ce qui affectera toutes les générations futures ce sont quelques-unes des conséquences des "actions humanitaires".

Et en outre, toutes les organisations internationales, y compris l’ONU, étant maintenant sous le contrôle total des États-Unis, jouent le rôle de la "couverture" dans la mise en œuvre de ce génocide. L’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), les "Médecins Sans Frontières" et d’autres organismes, autre fois ayant autorité, écrivent leurs "rapports objectifs" sous la dictée de l’Occident, et, maintenant, on ne peut plus leur faire confiance. Ils ont agi dans la même équipe que les agresseurs en Irak, en Afghanistan et en Libye.

La veille de l’invasion en Irak, ils ont docilement donné la conclusion que Saddam Hussein possédait « d’énormes stocks d’armes biologiques et chimiques », ce qui a servi pour les États-Unis d’un des principaux arguments pour déclencher la guerre. L’année dernière, ils ont accusé le gouvernement syrien d’avoir utilisé des armes chimiques et biologiques contre son propre peuple, quand environ 300 personnes ont été tuées en août par du gaz neuroparalytique sarin dans une banlieue de Damas. Bien qu’à cette époque, les preuves irréfutables ont été fournies que le sarin avait été utilisé par les militants d’al-Qaïda, et qu’il n’a pas été obtenu d’autre part que des entrepôts américains.

La solution – antimondialisation

L’élimination impitoyable des concurrents et, au fond, la tyrannie biologique des États-Unis détruisent la souveraineté des pays périphériques du monde, les contraignent à dépendre de l’aide, de l’expertise, des médicaments de l’étranger. Cette dépendance coloniale porte atteinte à la sécurité des nations, ce qui les rend otages de l’Occident, "cobayes" pour diverses expériences médicales et biologiques dirigées contre leur santé et leur vie.

Le contrepoids à l’empire de bioterrorisme ne peut être que le rejet de la "mondialisation" vicieuse, la construction d’un monde multipolaire. Tous les pays devraient, étape par étape, refuser de coopérer avec les États-Unis et l’OTAN, les organisations internationales pro-américaines existantes. 

Il est nécessaire de conclure des accords au niveau international. Par exemple, en Afrique, les états doivent travailler ensemble pour lutter contre les nouvelles souches du virus Ebola importées. Dans le Sud-Est asiatique contre un nouveau syndrome très aigu de la "pneumonie atypique". C’est au niveau national que nous devons prendre soin de notre science, créer nos propres instituts et laboratoires nationaux, des centres de recherche puissants pour lutter contre les armes virales et génétiques.


Source : « Contrôle national »

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