jeudi 31 juillet 2014

Ukraine - les missiles visaient la Russie

Une réflexion pourquoi CNN (lien vidéo) a mentionné les tirs de missiles de la part des Ukrainiens, leurs alliés... information inhabituelle...

Le vent d’Armageddon, dernières déclarations des puissances mondiales

30.07.2014

La chronologie des événements d’aujourd’hui (30 juillet 2014) :
  • Lavrov fait une déclaration selon laquelle il ne souhaite pas discuter avec Kerry.
  • Après cette déclaration, CNN fait une annonce à propos de lancements de missiles par les Forces armées ukrainiennes. Le message important de cette déclaration la Russie n'était pas la cible de ces lancements.
  • Ensuite la conversation de Lavrov avec Kerry (à l'initiative du Département d'État américain) a eu lieu.
  • Après ceci est faite une déclaration conjointe de Kerry et du ministre des Affaires étrangères de l'Ukraine sur un cessez-le-feu immédiat.

Analyse - Poutine a essayé de convaincre l'UE

Rostislav Itschenko : Russie – UE : « Longue route dans les dunes »

(Titre d’un film culte soviétique)
27-07-2014


Les événements évoluent très vite dans le monde actuel. En 2013, l'UE et la Russie menaient une lutte pour l'Ukraine, dont le choix en faveur de l'Accord d'Association ou de l'Union Douanière devait déterminer le vainqueur. 
Depuis le mois de mars 2014, la Russie mène une lutte contre les États-Unis pour l'Union européenne
En espace de trois mois environ (de fin novembre à fin février) l’Ukraine a cessé d'être un prix dans le jeu géopolitique et s’est transformée en un champ de bataille (aux sens propre et figuré du terme).

mercredi 30 juillet 2014

Ukraine - l'armée se partage déjà les appartements du Donbass

Les bourreaux se partagent des appartements à Lougansk et à Donetsk


26/07/2014
Les autorités ukrainiennes ont commencé à distribuer des logements à Donetsk et Lougansk aux participants de « l’opération spéciale » appelée par Kiev « ATO ».

Russie - les sanctions selon Poutine

La Russie pourrait commencer à réprimer les « pays agresseurs »


29.07.2014
Les députés de la Douma proposent d'introduire dans la législation russe la notion de « pays agresseur ». Il est prévu d'appliquer cette définition à l'égard des pays imposant des sanctions contre la Russie, et il sera interdit aux entreprises et à leurs structures enregistrées dans ces pays de travailler en Russie.

mardi 29 juillet 2014

Bombardements - mort violente à la maison de retraite

Matériaux pour le tribunal : Lougansk, maison de retraite canardée par des mortiers. Des larmes et du sang (photos/vidéo 18+)


29.07.2014

Le 28 juillet 2014, les saboteurs ukrainiens ont continué les tirs de mortiers à Lougansk.

Bombardements - vidéos

Des vidéos des bombardements ukrainiens sur Lougansk

Lycée technique

lundi 28 juillet 2014

Bombardements - eux non plus ne demandent pas de mourir...

Gorlovka crucifiée: conséquences des frappes d’artillerie – la mère avec son bébé tués (photos/vidéos 18+)

27.07.2014


L’artillerie ukrainienne a porté un autre coup sur le centre de la ville Gorlovka, que les combattants continuent à détenir sous leur contrôle. Selon des témoins, au moins 10 personnes ont été tuées. En même temps, la Garde Nationale ukrainienne a lancé une opération d'envergure pour la prise de la ville voisine de Gorlovka - Chakhtersk.

Ukraine - le gaz de schiste va s'extraire à Slaviansk

Sur la terre brûlée et ensanglantée de Slaviansk, les bourreaux forent déjà le gisement de gaz de schiste

27.07.2014


L’Occident estime que les réserves de gaz dans cette terre pourraient fondamentalement changer le secteur énergétique non seulement en Ukraine, mais aussi dans toute l'Europe.

Selon les habitants, près de Slaviansk des tours de forage sont en cours d’installation, visiblement pour exploiter le gaz de schiste.

Selon eux, les civils sous la protection des militaires ukrainiens se préparent à installer des tours de forage. On amène le matériel. Les forces de sécurité ukrainiennes encerclent la zone de la production envisagée du gaz de schiste.

Il convient de noter que les entreprises américaines s’occuperont de l’exploitation du gisement de gaz de schiste en Ukraine, dont le chef d’une d'entre elles est le fils du vice-président Joseph Biden. Kiev officiel n'a même pas essayé de dissimuler l'un des objectifs de la guerre dans le Donbass, en commençant les travaux d'extraction du gaz de schiste, sans attendre la fin des hostilités dans la région.

L’Occident estime que les réserves de gaz sur cette terre pourraient fondamentalement changer le secteur énergétique non seulement en Ukraine, mais aussi dans toute l'Europe. Dans un proche avenir, la société Shell investira jusqu'à 200 millions de dollars au début des travaux sur les gisements de gaz. Pour commencer, 15 puits seront forés. Les premières petites quantités de gaz peuvent être produites dès l’année prochaine. Mais ce ne sera que quelques millions (de m³). Cependant la production industrielle, à grande échelle, se comptera en milliards (de m³), dont les quantités seront sensibles pour le marché plutôt dans 4-5 ans.

Cependant, une telle préparation précipitée n’a pas causé de grande joie aux habitants de la ville. La ville venait de commencer à se remettre des combats, et en effet la production de gaz de schiste se heurte à de nombreux problèmes. Il est connu que de tels travaux auront un impact négatif sur l’environnement écologique de la région, et des méthodes alternatives d’élimination des émissions chimiques ne sont pour le moment pas encore inventées.

Encore en temps de paix les habitants de Slaviansk avaient organisé à plusieurs reprises des protestations contre l'installation des appareils de forage et avaient même prévu d'organiser un référendum sur cette question. Les plus gros dommages à l'environnement sont infligés par la fracturation hydraulique pour laquelle on utilise des produits chimiques spéciaux. Ils auront un impact non seulement sur les eaux souterraines, mais aussi sur l'atmosphère et, à long terme peuvent provoquer de nombreuses maladies dangereuses.

Sergey Volodine
Agence centrale d’information de Novorussie
Novorus.info

Source : novorus.info-news : На выжженной и окровавленной карателями земле Славянска уже бурят сланцевый газ
Traduction : GalCha

Lire aussi : 



MH17 - destructions des preuves?

Un article de "La Voix de la Russie"

Boeing : Kiev mène des combats sur le site du crash pour éviter d'être «démasqué» (RPD)

© Photo: RIA Novosti/Natalia Selivyorstova
Par La Voix de la Russie | Le Premier ministre de la République populaire autoproclamée de Donetsk (RPD), Alexandre Borodaï, a déclaré que Kiev tentait d'éviter d'être « démasqué » en activant l'action militaire dans la zone du crash de l’avion Boeing malaisien.

M. Borodaï juge que c'est une preuve irréfutable du fait que les autorités ukrainiennes veulent détruire les preuves des crimes commis par leurs militaires.

dimanche 27 juillet 2014

Ukraine - le Donbass vendu à l'Occident

et on reparle des Pays-Bas...

Le Donbass est vendu à l’Occident. Les « laquais » de Kiev font le « nettoyage » du territoire

21-07-2014
Le 30 avril 2013, la reine des Pays-Bas, Beatrix (Beatrix Wilhelmina Armgard), abdiqua en faveur de son fils, après avoir régné sur le pays pendant 33 ans.

Sur le trône est monté son fils âgé de 46 ans, le Prince d'Orange Willem-Alexander, héritier du capital dont les principaux actifs de la dynastie sont la compagnie « Phillips », « KLM » et « Royal Dutch Shell ».

samedi 26 juillet 2014

Fascisme ordinaire - vers l'interdiction des Communistes

Un article de "RIA Novosti"

Ukraine : pourquoi interdire le Parti communiste

24 juillet 2014
Par Maxime Chalyguine, RIA Novosti


Il est évident que la présence de communistes au parlement ukrainien empêche de montrer une "cohésion déterminée de toute la société ukrainienne face à un ennemi commun".

MH17 - sur l'état d'esprit occidental

Un article du World Socialist Web Site

Quelle est la politique menée à propos de l'écrasement du vol MH17 de la Malaysian Airlines ?

Par Alex Lantier
25 juillet 2014

Une séance de questions à la presse du ministère américain des Affaires étrangères lundi avec sa porte-parole Marie Harf sur l'écrasement du vol MH17 en Ukraine orientale a clairement montré que le gouvernement et les médias n'ont aucune preuve crédible pour soutenir leurs allégations que la Russie est impliquée dans cette horrible tragédie. Harf, à qui le journaliste de l'Associated Press (AP) Matt Lee a demandé plusieurs fois de fournir des éléments en faveur de ces accusations, n'a pu présenter aucune information concrète quelle qu'elle soit.

Fascisme ordinaire - élimination des communistes

Le fascisme ordinaire : un communiste torturé à mort à un point de contrôle de La Garde Nationale dans la République populaire de Donetsk

23.07.2014

Massacres fascistes sur les territoires occupés par la junte...

Le communiste V.M. Kovchoun a été torturé à mort à un point de contrôle de La Garde Nationale dans le district Starobechevsky de la région de Donetsk.

Le secrétaire de la cellule de base du Parti communiste ukrainien dans le village Glinka, le député du Conseil de village du district Starobechevsky de la région de Donetsk, Viatcheslav Mikhaïlovitch Kovchoun, né en 1956, a été torturé à mort sur un point de contrôle de La Garde Nationale près du village Louzhki.

Bombardements - avec des SMERTCH

Ville de Popasnaya : Projectile non explosé d’un « Smertch » est tombé dans un appartement (vidéo)

La junte fasciste a décidé d'éliminer la ville de Popasnaya avec ses habitants et les défenseurs tel un obstacle gênant sur son passage.

La propagande ukrainienne utilise souvent le mythe que les combattants prétendument tirent eux-mêmes avec l'artillerie sur les quartiers résidentiels afin de discréditer l'armée régulière ukrainienne aux yeux de la communauté internationale.

La vidéo présente une preuve directe comment les bourreaux ukrainiens rasent les villes du Donbass et avec quoi ils le font. La preuve de la démence des élites de Kiev prête au génocide de la population de Novorossia pour des raisons politiques et économiques.

Ukraine - Kiev minimise ses pertes, mais on a trouvé les vrais chiffres...

Sans commentaire, mais il faut multiplier par 2 les pertes de Kiev du 9 au 15 juillet 2014



Source : novorus.info/news : Без слов, но нужно умножить на два. Потери Киева с 09 по 15 июля 2014 г.

vendredi 25 juillet 2014

Ukraine - à propos des organes des soldats ukrainiens

Les soldats ukrainiens sont vendus en Europe pour les organes?

17.07.2014
Tout participant au conflit armé peut devenir victime des transplantologues noirs. 
Photo: Evgeniya GOUSSEVA
Selon les experts, un tel scénario est tout à fait possible — tel était le cas au Kosovo

TROIS GRANDS « BUSINESS » DE LA GUERRE
La correspondance entre l’ancien avocat de Ioulia Timochenko Sergey Vlassenko et le médecin allemand Olga Wiber récemment publiée sur le Web à propos du trafic d’organes de soldats ukrainiens victimes de l’« opération antiterroriste » en Europe, a produit un choc. Si l’on croit ce document, le « business » est mis en production à la chaîne. Voici juste une seule commande venant d'Allemagne : « 17 cœurs, 50 reins, nouveau foie au nombre de 35 pièces, 30 pancréas et 5 poumons. » Ce faisant le chef du service de sécurité d'Ukraine Nalivaychenko serait au courant.

Est-ce que cela est réellement possible ? Ou bien l’histoire de la correspondance piratée est-elle un PR noir, une part de la guerre de l'information menée entre les dirigeants de l'Ukraine ?
« J'ai lu cette correspondance, — dit le docteur en sciences politiques Elena Ponomareva, auteur du livre l'éclatement de la Yougoslavie « Internationale criminel au centre de l’Europe. Comment l'OTAN crée des états-bandits » – je souligne tout de suite que l’information doit être bien examinée afin d’éviter les accusations gratuites. Mais en tant que spécialiste, étudiant depuis de nombreuses années les guerres des Balkans, la possibilité en soi de la transplantation noire en Ukraine ne me surprendrait pas. Il est connu que dans tout conflit militaire les trois « entreprises » les plus rentables sont – la prostitution, la drogue et le trafic d'organes. Non seulement elles rapportent un bénéfice immense, mais aussi elles exercent une influence importante sur le climat politique, social, économique et psychologique dans une région définie. »

Quant à la crise ukrainienne, tout y était « noir » dès le début. Sinon, pourquoi, dès les premiers jours de l’opposition, les forces d’autodéfense de Maïdan se sont-ils emparées de la morgue et du crématorium de Kiev de la rue Oranzhereynaya dont le foyer fonctionnait sans interruption ? Pourquoi tous les morts sont-ils inhumés sans expertise médico-légale capable d'établir la véritable cause de la mort ? Donc, il y a quelque chose dont les nouveaux maîtres de l'Ukraine veulent cacher.

LES REINS ONT ÉTÉ EXTIRPÉS DIRECTEMENT DANS LA MINE

— Elena, avec la prostitution et la drogue c’est clair. Mais les organes ! Est-il possible de les retirer sur-le-champ ?
Oui. Il faut seulement avoir une pièce avec une table d'opération, l'anesthésie, les outils. Et un chirurgien ordinaire. Habituellement dans les conditions de conflits des organes vitaux relativement « simples » sont prélevés — les reins, le foie, les poumons. Les cas de prélèvement de sang ne sont pas rares. Pour le transport, il n’y a pas non plus trop de difficultés seulement sont nécessaires des conteneurs spéciaux et le transport. Et les clients attendent. C’est justement pour cette raison que le trafic d’organes humains prend des formes particulièrement cruelles et à grande échelle pendant les conflits armés.

Les faits les plus terribles et les plus nombreux d’un tel « business » ont eu lieu sur le territoire du Kosovo et de l'Albanie. Les leaders des rebelles du Kosovo ont surpassé en cruauté et en cynisme tous les transplantologues noirs. Encore en 1999, on prélevait les reins sur des « donneurs inconnus » (comme il est souvent écrit dans les documents officiels du Tribunal pénal international pour l'ex-Yougoslavie) dans un centre hospitalier à Tirana (Albanie), qui, sinistre ironie, s’appelait « Mère Teresa », et à l'Hôpital Universitaire de Skopje (Macédoine). Toutes sortes de lieux étaient utilisés : tel une partie de l'hôpital de Bajram Tsuri, le centre de remise en forme de l’usine « Coca-Cola » à Tirana, l’hôpital neuropsychiatrique de la de prison 320 à Burreli et une maison privée, aménagée comme un hôpital à proximité de Tropojë, dit la maison jaune, et encore la clinique « Medicus » à Pristina. Même dans la mine Deva à la frontière du Kosovo et de l'Albanie on a aménagé une prison et une salle d’opération ! Tous ces faits ont été documentés.

AU KOSOVO, IL Y AVAIT DES CAMPS ENTIERS DE DONNEURS

Les reins, le foie sont prélevés chez des soldats morts ou seulement chez ceux grièvement blessés ? Dans la correspondance publiée, le médecin proteste que la « marchandise » est de mauvaise qualité.

Tout le cynisme et la cruauté consistent dans ce qu’ils ont besoin d’organes de gens jeunes et en bonne santé. Celui grièvement blessé a perdu beaucoup de sang. Et ses « pièces de rechange » n'ont plus d’intérêt particulier. Par conséquent, comme en témoigne le conflit du Kosovo, les organes ont été prélevés soit chez des soldats capturés, soit chez des civils enlevés, principalement des Serbes, qui étaient gardés comme du bétail dans des camps-abattoirs spéciaux. On prélevait les organes quand il y avait une commande sure. Par exemple, selon le témoignage du bureau du procureur serbe, le centre clandestin des donneurs à Burreli fonctionnait de 1999 à 2003. Les victimes ont été amenées dans les camps de concentration et dans les prisons. Pendant ce temps à Burreli, plus de 500 personnes ont été tuées (suite aux opérations médicales). Parmi celles-ci, il y avait au moins une cinquantaine de russes ! Chez nos volontaires venus défendre leurs frères orthodoxes, les Albanais enlevaient des organes vitaux avec un plaisir particulier. On estimait que ceux-là ne seraient certainement pas recherchés.

Cette correspondance prétendue de l’avocat de Timochenko Sergey Vlassenko avec le médecin allemand Olga Wiber a été mise sur Internet.
Pour la commande le médecin utilise des abréviations des mots anglais : COR coeur, nep rein, hep foie, pan — pancréas, pul poumons
Voir ici le texte intégral de la correspondance. 
Si on croit à cette correspondance, en Ukraine on exécute également des commandes spécifiques pour des reins, des poumons... Et comment les criminels brouillent-ils leurs pistes ? Sans aucun doute, il devrait y avoir beaucoup de témoins !
Les corps sont généralement enterrés ou incinérés. Et on le fait avec l’aide des victimes attendant leur sort. Des témoins ? Oui, il y en a. Les gardes, les médecins, les infirmières... Mais ils sont tous inclus dans cette « entreprise » et il est peu probable qu’ils rentrent au bercail.

Comment peut-on faire passer en contrebande un si grand nombre d'organes de donneurs depuis la zone de conflits vers l’Europe pacifique ? Enfin, l'Union européenne tient tout sous contrôle !
Et pourquoi pensez-vous qu'il faut à tout prix les envoyer en Europe ? Les cliniques ukrainiennes ne sont pas pires, et peut-être même mieux que les kosovares et albanaises, la transplantation noire a été mise en œuvre à la chaîne. Mais même s’il faut amener un organe en Europe, cela sera fait. Justement la force de la mafia internationale est que les frontières n’existent pas pour elle. Cependant, nous ne sommes pas surpris que des tonnes de drogues afghanes soient envoyées en Europe...

À propos, qui sont les patients ?
Les gens aisés. Habituellement de l’Europe, des États-Unis et du Canada. Ils ne se soucient pas de morale et ne s’embarrassent pas avec des questions sur l’origine du rein.

La mafia internationale ne permettra pas l'enquête ?
L'histoire avec la correspondance piratée sur le trafic des organes a retenti puis s’est tue aussitôt. Qui peut maintenant mener une enquête ? Les autorités de Kiev ne le feront pas d’elles-mêmes, et le souvenir des histoires des tireurs d'élite sur Maïdan et de la tragédie d’Odessa, le 2 mai. Espoir en l’UE, en l’ONU ?

Vous êtes naïf ! Il ne faut fonder aucun espoir sur l'intérêt des organisations internationales pour la recherche des transplantologues noirs en Ukraine.

Le « business » inhumain des militants du Kosovo de prélèvements d'organes chez des milliers de personnes vivantes a fleuri justement sur les territoires depuis juin 1999 sous le contrôle des forces des pacificateurs de l'ONU et de l'OTAN. Les preuves documentaires de ces atrocités sophistiquées de la part des Albanais du Kosovo étaient à la disposition du Tribunal International pour l'ex-Yougoslavie déjà en 2000. Mais une enquête sérieuse a commencé seulement en 2008, et en mai 2011, ont eu lieu des premières audiences. De plus, un élan pour dénoncer ces crimes a été donné par le rapport du député suisse Dick Marty, présenté à l’APCE le 12 décembre 2010. Ce document souligne que les dirigeants de l'Armée de libération du Kosovo (une sorte de prototype de la Garde Nationale ukrainienne), dont le Premier ministre actuel Hashim Thaci, ont été directement impliqués dans le trafic illégal d'organes !

Le monde a déjà connu l'ampleur des atrocités, l’existence d’incubateurs entiers de transplantation d’après les mémoires de l’ex-procureure du Tribunal pénal international pour l'ex-Yougoslavie, Carla Del Ponte « de fer ». En tant que procureure, elle n’a pu rien faire. On peut dire la même chose à propos du rapport de Dick Marty. Malgré l'enquête de sa commission, « les nations civilisées » non seulement ont reconnu l'indépendance du Kosovo, mais aussi la légitimité de Hashim Thaci l'une des figures les plus odieuses dans les Balkans et l'organisateur direct de la transplantation noire. Les vrais criminels n'ont pas toujours pas reçu de châtiments mérités. Ce sont des « pions » qui ont été emprisonnés. Ce qui prouve une fois de plus la politique du double standard des pays soi-disant « civilisés » qui sont prêts à fermer les yeux sur les atrocités de leurs « fils de pute ».


Mais une chose est évidente. De tels crimes comme du temps des crimes du nazisme ne doivent pas avoir de délai de prescription. Leurs organisateurs et leurs auteurs doivent être punis. Mais, pour cela, il faut recueillir les preuves irréfutables des crimes.

Le Premier ministre du Kosovo Hashim Thaci a été impliqué dans le trafic d'organes, mais s'en est tiré les mains propres.
Photo : globallookpress.com
PRIX DE LA « MARCHANDISE »
Des millions d'euros avec la transplantation noire

Quel est le prix des organes sur le marché noir ?
Cela dépend de l'endroit de leur enlèvement et des greffes explique Elena Ponomareva. Ainsi, si en Turquie une opération de greffe légale du foie en coûtera de 70 à 100 000 euros, en Allemagne et en Israël — de 150 à 280 000. Une transplantation rénale est moins chère de 30 à 70 000 euros. L’opération de transplantation du cœur, sans le coût de l’organe lui-même, est en moyenne de 100 à 130 000 euros. Le prix approximatif de la kératoplastie (greffe de la cornée) pour un œil est de 1 500 à 3 000 dollars. Le prix des organes vitaux sur le marché noir est directement lié à la politique de la médecine légale et, bien sûr, beaucoup moins chère. Surtout qu’il ne faut pas payer le « donneur », enlevé dans la zone de conflit.

Comment est réparti le bénéfice ?
La réponse exacte ne peut être donnée que par les enquêteurs et le tribunal. Tout dépend de l'ampleur des crimes. D’après l'estimation la plus modérée de l'ancien procureur du Tribunal pénal international pour l'ex-Yougoslavie, Carla del Ponte, sur le trafic d’organes prélevés chez des personnes vivantes, le Premier ministre du Kosovo Hashim Thaci a gagné plus de 2 millions d'euros !

Si un commandant de guerre décide de faire du « business » de transplantation, alors le « profit » sera insignifiant. C’est autre chose quand vous avez créé une chaîne continue du prélèvement d'organes jusqu’à l’endroit de sa greffe. Cette chaîne comprend des dizaines de personnes et de services. Et le plus simple dans ce « business » est de prélever l’organe. Ensuite, il faut le conserver et le transporter. La chirurgie de transplantation nécessite un équipement moderne et des médecins professionnels, commençant par des anesthésistes et se terminant par des chirurgiens. Bien sûr que les structures du pouvoir, assurant la sécurité de telles opérations, elles aussi doivent être payées. C'est pourquoi des entreprises criminelles prospèrent dans les zones échappant au contrôle du gouvernement, ou bien lorsque l'État lui-même est devenu, selon les mots d'un chercheur américain Schatzberg, un bandit.

Source : m.kp.ru : Украинских солдат продают на органы в Европу?
Traduction : GalCha

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