Empire du BIOTERRORISME - partie 1/3
article du 12.08.2014, première publication 5.09.2014
Nouvelle publication ce 16.08.2021
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Une épidémie, sans précédent jusqu’à maintenant, du virus Ebola en Afrique de l’Ouest, menace de se propager sur le continent européen. Le SIDA, emportant des dizaines de millions de personnes, d’autres maladies redoutables inconnues jusque-là des humains, des animaux et des plantes. D’où nous tombent-elles sans crier gare ? Quel est le rôle joué par les laboratoires secrets de la CIA et les autorités militaires des États-Unis ?
Les virus de la
nouvelle génération : le cancer
« Ce n’est pas possible ! Le cancer n’est pas contagieux ! Tout cela ne sont que des spéculations, genre la "théorie du complot" ou les rencontres avec les Martiens ! »
Ainsi, les autorités américaines ont réagi aux accusations du gouvernement du Venezuela selon lesquelles le grand leader de la Révolution bolivarienne, Hugo Chavez, a été éliminé par l’infection d’un virus du cancer.
Toutefois, les experts estiment qu’un si grand nombre de dirigeants latino-américains atteints de cancers (et comme par hasard, ceux de gauche !), à peu près en même temps, ne peut pas être expliqué par des causes naturelles. Parmi eux, en même temps que Chavez, le président argentin Nestor Kirchner, Cristina Kirchner qui l’a remplacé à son poste, le président brésilien Lula da Silva, Dilma Rousseff qui est arrivée au pouvoir après lui, le président paraguayen Fernando Lugo (qui a été renversé pendant le coup d’État de la droite en 2012 orchestré par la CIA, et peu de temps après, on lui a diagnostiqué un cancer du système immunitaire). Le dirigeant cubain Fidel Castro, c’est à peine qu’il soit resté en vie après une affection mystérieuse oncologique de l’intestin qui l’a frappé après le "Sommet des peuples" qui s’est tenu en 2006 dans la ville argentine de Córdoba.
Il est connu de peu de gens que, bien avant les expériences bestiales dans les camps de concentration de mort allemands pendant la Seconde Guerre mondiale, les Américains réalisèrent des expériences similaires sur les habitants de l’Amérique latine sous l’égide de "l’Institut de Recherche Médicale" de Rockefeller.
Un des fanatiques, Cornelius Rhoads en 1931, écrit à son ami :
« Ici, à Porto Rico, tout va bien, sauf pour les Portoricains. Ils sont certainement les imbéciles les plus sales et les plus paresseux de la race des voleurs peuplant cet hémisphère. La santé publique, il faut un moyen quelconque pour les éliminer tous. Et j’ai tout fait pour accélérer le processus – j’en ai tué huit au cours d’expériences, et j’en ai infecté beaucoup par des cancers. L’assurance-maladie et les prestations sociales n’existent pas ici – et cela suscite de l’admiration chez les médecins qui peuvent librement soigner jusqu’à la mort et torturer leurs patients malchanceux ».
Le "Docteur" administrait par voie intraveineuse des substances biologiques qui provoquent le cancer, et au moins 13 patients sont décédés à la suite de ces expériences cruelles.
Dans les années 50, Rhoads est devenu directeur des programmes de recherche sur les armes chimiques et biologiques dans le centre de l’armée de Fort Detrick (Maryland), des terrains d’essais dans le désert de l’Utah et sur le territoire du canal de Panama. Il s’est ensuite rendu à la Commission des États-Unis sur l’énergie, et y a soumis des Américains ne soupçonnant rien à des irradiations radioactives pour déterminer le niveau de "radiation de sûreté" et l’incidence des tumeurs malignes dues à ces expériences.
Après la mort de Rhoads, l’Association américaine des oncologues a créé un prix en son nom. Cependant, en 2004, à la suite de révélations scandaleuses de ses expériences monstrueuses, le président de l’association, S. Horwitz, a déclaré que la plus haute distinction des oncologues des États-Unis ne serait plus associée au nom de Rhoads en raison de la "nature controversée de ses activités".
De tels gredins de la science aux États-Unis, il y en a treize à la douzaine, et ils ont testé presque toutes les saletés inventées au début en Amérique latine (sans oublier les expériences sur leurs propres citoyens). Après la guerre, le champ a été réduit en raison du fait que beaucoup de gens ont commencé à demander de l’aide médicale et scientifique à l’URSS. Mais après l’effondrement de l’Union soviétique devant ces écorcheurs de vastes perspectives se sont vraiment ouvertes.
Obama, à maintes reprises, a été contraint de présenter ses excuses auprès des pays d’Amérique latine pour les expériences sur des gens dans les années 40 – 50, qui ont conduit à la propagation de la syphilis et d’autres maladies sexuellement transmissibles, à la stérilité en masse et aux diverses épidémies. Cependant, de telles excuses (attention ! seulement après la publication de preuves irréfutables) ne rendront pas la vie à des millions de morts et de victimes du bioterrorisme des États-Unis, aussi bien que ne conduiront pas à la fin de ces "expériences" dans l’avenir (selon le principe "pas vu, pas pris").
Depuis la fin des années 60, le développement et la création accélérés de différentes mutations du virus du cancer ont démarré. Les travaux ont été coordonnés avec "l’Institut National d’Oncologie", qui officiellement mettait au point le traitement de la "maladie du siècle", et officieusement était impliqué dans les projets de la CIA par l’utilisation du virus du cancer à des fins militaires et politiques.
En dépit de la signature solennelle, en 1972, à Moscou, à Londres et à Washington, de la Convention sur l’interdiction de la mise au point, de la fabrication et du stockage des armes bactériologiques (biologiques) ou à toxines et sur leur destruction (CABT), le travail à Fort Detrick allait d’arrache-pied et, vers 1977, 60 000 litres de virus cancérigènes et immunosuppresseurs ont été produits.
Dans ces travaux ont activement participé les professeurs R. Purcell, M. Hillerman, S. Krugman et R. McCollum, qui ont utilisé un "cocktail" de virus de l’hépatite B en combinaison avec une substance oncogène pour des expériences non seulement sur des macaques rhésus et des chimpanzés, mais aussi sur des étudiants américains de l’école publique pour enfants handicapés mentaux de Willowbrook.
En 1971, la société pharmaceutique américaine "Litton Bionetics" a signé des contrats avec un certain nombre de pays africains pour l’étude de patients atteints de cancer avec le lymphome de Burkitt lié au virus d’Epstein-Barr, ainsi que de la leucémie et du sarcome. Curieusement, le lymphome de Burkitt a été diagnostiqué pour la première fois dans l’ouest de l’Ouganda après le travail des laboratoires du "Centre National de Cancer des États-Unis", ainsi que d’autres institutions médicales sponsorisées par Rockefeller.
Un des experts, R. King, a déclaré dans les années 80 que des experts des États-Unis infectaient des personnes de sarcome pour « identifier le génome viral par la remise en culture, l’hybridation, la recombinaison de virus, de mutations et d’autres techniques. »
Lors des audiences à la commission sénatoriale Church en 1975, le Dr Charles Senseni, qui avait travaillé dans le laboratoire de Fort Detrick, a avoué que, pour l’élimination des indésirables, la CIA utilisait des substances biologiquement actives qui provoquaient des maladies cardiaques et le cancer galopants. Il a montré des échantillons d’armes au moyen desquels les victimes désignées étaient infectées. Parmi ceux-ci, il y avait un parapluie tirant des fléchettes minuscules lors de son ouverture, ainsi qu’un pistolet à air comprimé tirant avec des aiguilles traitées avec du poison surgelé. Étant aussi épaisses qu’un cheveu humain et ayant la longueur de quelques millimètres, ces aiguilles passaient à travers le tissu des vêtements, sans être endommagées, l’injection provoquait une douleur pas plus forte qu’une piqûre de moustique, en fondant instantanément sous la peau.
Parmi les "nouveautés", des bioterroristes américains ont également montré des aérosols pour infecter les "cibles" de maladies mortelles après la pulvérisation par avion, ainsi que des "virus sautants" se propageant par les insectes (puces, araignées, moustiques) qui sautent ou volent d’animaux infectés à l’homme. La CIA était le "pionnier" dans les moyens de contagion par injection, inhalation, contact de la peau avec les vêtements contaminés, à travers le système digestif lors de la prise de nourriture, de boissons et même en utilisant du dentifrice.
Certains experts estiment que l’un des premiers leaders politiques indésirables aux USA, infecté par la nouvelle arme biologique du cancer, était le président d’Angola, Agostinho Neto. Il est décédé à l’hôpital clinique central de Moscou en 1979 à l’âge de 57 ans d’une forme fulminante de cancer inconnue jusqu’ici. Une autre victime était l’ancien président chilien Eduardo Frei, qui s’est opposé ouvertement au protégé des États-Unis, le général Pinochet. Frei est mort à l’hôpital de Santiago en janvier 1982, après avoir contracté une maladie passagère inconnue après avoir passé une visite médicale ordinaire.
Alors, peut-être que dans 50 ans, les archives de la CIA seront déclassifiées, et les mystères de la mort d’Hugo Chavez et d’autres dirigeants internationaux seront connus. Il existe une telle quantité de documents sur l’utilisation des virus du cancer par les services américains de renseignement, que l’existence de cette arme ne vient même pas en question. La seule question qui se pose – c’est comment il a été "introduit" et qui était l’exécutant direct.
"Virus absolu"
— SIDA
« Dans les 5 à 10 prochaines années, il sera possible de créer un virus synthétique qui n’existe pas dans la nature, et qui ne peut pas être réprimé par le système immunitaire humain ; de nouveaux virus créés artificiellement seront inabordables pour les médicaments, il est inutile d’utiliser contre ces derniers des moyens conventionnels de traitement des maladies infectieuses, les antibiotiques, les vaccins et les antidotes ».
Cette déclaration sensationnelle a été faite par le chef expert-virologue militaire D. MacArthur en 1969 devant les commissions du Congrès ("Commission Sykes"), qui était chargé de donner les recommandations sur l’allocation des fonds budgétaires pour l’armée. Et il n’a pas demandé beaucoup – environ 10 millions de dollars seulement !
L’argent a été accordé et des centaines de scientifiques et d’experts ont été mobilisés pour le travail. L’un des créateurs du virus du SIDA, apparemment, était le Dr RobertGallo, qui en 1987 a même reçu du ministère de la Santé américain le brevet établissant sa priorité dans l’invention du "virus réprimant le système immunitaire de l’homme".
La maladie s’est échappée des laboratoires et pour la première fois a été constatée au printemps 1981 en Californie (USA). Et elle n’avait rien à voir (comme les Américains essayent de nous convaincre) avec l’Afrique ni avec les "petits singes verts".
En mai 1987, Times de Londres a publié un article affirmant que la vaccination contre la variole en Afrique (à l’initiative des "humanistes" du ministère de la Santé des États-Unis) a causé une épidémie du SIDA. Et des millions de personnes ont été vaccinées ! Ensuite, une telle "vaccination" a été réalisée à Haïti, au Brésil et dans d’autres pays.
Les accusations des États-Unis dans la fabrication du virus du SIDA ont déjà commencé depuis le milieu des années 80. Le professeur berlinois de l’Université Humboldt, Jakob Segal, a affirmé que ce virus est un « produit de l’expérience, réalisée en laboratoire dans le but de créer des armes biologiques ». Dans les médias américains, tout cela était présenté comme de "la propagande soviétique". Mais dans les années 90, le docteur Gallo en personne a annoncé qu’il avait testé encore une souche "alternative" du SIDA, qui peut pénétrer dans l’organisme par les cellules épithéliales (c’est-à-dire, à travers la peau), ce qui augmente le risque de maladie par pulvérisation de la substance active dans l’atmosphère.
Dr Stan Monteith a été parmi les premiers qui encore en 1981 a décrit l’énorme potentiel épidémique de ce nouveau virus, les conséquences potentiellement catastrophiques de son utilisation par "l’élite mondiale" et a également prouvé son caractère artificiel.
La principale différence avec le "virus absolu" est qu’il ne détruit pas seulement le système immunitaire. Il transforme les anticorps (produits par le système immunitaire pour lutter contre les virus) en propagateurs du virus, c’est-à-dire, les principaux défenseurs du corps en ses destructeurs ! Le virus parasite les anticorps et naît à l’intérieur de ceux-ci. De telles caractéristiques n’ont jamais été observées dans aucun des virus ou des bactéries connus de la science.
Et cette nouvelle propriété empêche jusqu’à présent toute tentative de créer un vaccin contre le SIDA. C’est pourquoi, au fil des ans, aucun médicament efficace contre cette maladie n’a été trouvé.
Le nombre de personnes infectées par le SIDA n’est toujours pas connu, car même aux États-Unis le gouvernement empêche toutes les initiatives visant au moins une estimation approximative. Selon de diverses estimations, entre 50 à 100 millions de personnes sont infectées du SIDA. Surtout en Afrique – dans certains pays (Ouganda, Kenya), plus de 50 % de la population souffrent de cette terrible maladie.
Il est considéré que jusqu’ici quelque 40 millions de personnes sont mortes du SIDA – presque autant de morts que dans la Seconde Guerre mondiale !
Source : rusvesna.su : Империя Биотеррора
Un article très instructif,même si cela fait "froid dans le dos"(peur).
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