jeudi 15 janvier 2015

L'attentat du bus de Volnovakha (vidéo+photos 18+)

Qui et comment a pilonné l’autobus près de Volnovakha ? (vidéo+photos 18+)


14.01.2015 
La presse occidentale en parle, l'Occident accuse sur les simples dires des Ukrofascistes, avant même toute enquête... Le scénario habituel, quoi ! Les séparatistes, les Russes, les terroristes sont montrés du doigt... Tiens, Porochenko a introduit une demande au Conseil de l'Europe pour que les LNR et DNR soient reconnues comme associations terroristes, suite à cet acte ignoble, probablement un coup monté par Kiev et ses mentors de l'Occident.

Le blogueur Mikhael Mikel1 a analysé les photos et les vidéos avec l’autobus pilonné.

« Le pilonnage de l’autobus régulier avec le Grad près de Volnovakha est reconnu comme une attaque terroriste : 10 morts, 13 blessés » – c’est ce que hurlent les médias ukrainiens

(Attention – les photos seulement pour adultes !)


Lisons les détails : « Près de Volnovakha dans la région de Donetsk, des hommes armés ont pilonné avec le poste de contrôle des militaires ukrainiens avec les Grads et ont touché l’autobus des personnes civiles Le Parquet a ouvert une procédure pénale en vertu de l’article "Acte terroriste". »

Le représentant de l’État-major, le responsable du centre de commandement des Forces Armées Ukrainiennes, major-général Bogdan Bondar, depuis la tribune de la Rada suprême, a déclaré dans son discours que l’autobus de ligne a été pilonné sur un des sept points de passages des habitants de la zone "ATO", installés par le Service de sécurité nationale et de défense.



Le responsable de l’Administration publique du ministère de l’Intérieur dans la région de Donetsk (ministère ukrainien – NDT) Viatcheslav Abroskine a annoncé sur sa page Facebook (photos ci-après) que 13 personnes ont été blessées et 10 tuées. Selon les informations communiquées au correspondant de "Obozrevatel" par le Parquet de la région de Donetsk, plus de 40 obus ont été tirés sur le poste de contrôle dont quelques-uns ont touché l’autobus de ligne "Bogdan", allant sur l’itinéraire "Donetsk-Marioupol", qui se déplacé sur l’autoroute "Marioupol-Donetsk".


Et maintenant, regardez les photos.

Le bus n’a aucune trace de l’onde d’explosion. Même, certaines vitres sont restées intactes et les pneus ne sont pas crevés. En outre, il n’y a pas de trace de pénétration de fragments du côté gauche. Par contre, le droit est parsemé de nombreux trous de forme ronde. Remarquez – le groupement des tirs est très dense. Alors que le Grad couvre d’éclats (loin d’être ronds) une surface de 145 000 mètres carrés 14,5 hectares !!!


Ici, nous ne voyons que le groupement de tirs du côté droit, côté de la bande forestière, les autres côtés de l’autobus aussi bien que les arbres environnants et même les lignes de haute tension ne sont absolument pas touchés. Aucune trace d’impact caractéristique par un Grad.

Cependant, « comme l’indique le correspondant de TSN du lieu de l’accident, le point de contrôle a été pratiquement détruit ». Regardons la vidéo :



Faites attention à la vidéo image par image. Les environs sont absolument intacts, la couche de neige n’est pas dérangée, pas de trace de feu, qui soi-disant s’est terminé il y a 20 minutes. L’arbre est scié (!!!) et ses branches ferment le trou, qui est décrit comme une trace de projectile de Grad. Mais (!!!), il n’y a aucune ogive dans le trou. Et il n’y a aucune trace du projectile. Il n’y a, en fait, rien du tout, sauf le bus seul, pilonné.


Voici un résultat type d’une explosion de Grad près d’un autobus. Les vestiges du projectile sont visibles au premier plan (Donetsk).

Faites attention à la neige dans le cratère de soit disant du projectile de Grad – elle n’y est certainement pas tombée en 20 minutes. Les branches de l’arbre scié auparavant, elles couvrent le trou, et non pas jetées par l’explosion. D’autant plus que, si l’on considère le trou comme lieu du coup du Grad, alors il doit y rester son ogive. Si elle avait explosé, elle aurait dû former un cratère et non pas un trou aux bords droits. Le caractère du trou prouve qu’il n’y a pas eu d’explosion est l’ogive ?


C’est-à-dire que ce n’était certainement pas un Grad ni les projectiles de l’artillerie à canons ni des mortiers. Plutôt, il pourrait s’agir des tirs d’un lance-grenade et d’un chargeur de Kalachnikov vidé depuis la bande forestière. Ce que confirment les rideaux mis en lambeaux par le verre et qui n’ont même pas été arrachés. Et je ne parle même pas des sièges intacts de l’habitacle...

Je crains que la version du Grad ne soit venue à l’esprit précisément parce qu’il est impossible d’expliquer la présence des saboteurs-combattants si près du point de contrôle. Mais un bourreau ivre ou malade mental pouvait très facilement le faire depuis le point de contrôle. Une provocation délibérée aurait été mieux préparée.

Ou peut-être pas ?







   

Nikolai Gavrilov, l’utilisateur du forum "Russkaya vesna" a analysé la vidéo et a publié ses arguments.

J’ai vu maintenant la vidéo avec cet autobus...... JE VAIS LES BRISER COMME DU VERRE
1. Le bus se trouve sur la trajectoire du faux projectile, selon la direction du trou, le faux projectile aurait dû frapper le côté gauche de l’autobus et aurait dû le déchiqueter !
2. L’arbre est soigneusement scié (probablement pour ne pas interférer avec les fragments)
3. Le "piquet" – marqueur est planté dans la neige, exactement, près de, si j’ose dire, de la MON-100 (la "mine à fragmentation guidée," la surface d’action est de 100 mètres)
4. L’autobus est stationné à 10-15 mètres de la route (comme s’il était mis là délibérément)
5. L’épicentre d’explosion est exactement au milieu du bord du bus.
6. La direction des fragments du cratère est à "11 heures" et le point de contrôle est à "14 heures" – l’UKROP  a pris des précautions....

Épilogue : LES UCRO-WEHRMACHTISTES ont mis le bus pile en face du signet, dont ils connaissaient l’existence, et, en conséquence, eux-mêmes, ils l’ont posé et explosé.

Traduction : GalCha

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